1
lui des églises catholiques, puisque il se trouve
condamné
par la dogmatique réformée, et plus encore par la révolte de la foi r
2
rticipation instantanée à l’éternel, elle juge et
condamne
ceux-là d’abord qui s’en réclament. Et c’est pourquoi il y a un impos
3
nécessité d’assurer le minimum de vie se trouve
condamné
par là même à ne jamais suffire à cette nécessité. Car la seule défen
4
rvue de critère indépendant de la littérature est
condamnée
à ne plus critiquer que les moyens de cette littérature. Elle les jug
5
ique « de classe » reste encore négative. Elle se
condamne
aussi à rendre compte des seules œuvres mineures, toute création réel
6
bourgeoise, vice qui le lie au monde ancien et le
condamne
à passer avec lui : il décrit l’anarchie intime de l’homme moderne av
7
il est un genre que nos critiques sont unanimes à
condamner
sans nul recours, c’est celui du roman à thèse. Méfiance significativ
8
bsurde que ce livre — écrit par un juif ! — a été
condamné
en Allemagne. n. « Kasimir Edschmid, Destin allemand, Plon. Traduit
9
physique relativiste. Mais Staline, on le sait, a
condamné
Einstein. Il semble bien que ces « barrages » et ce conformisme bruta
10
évolution de 89, et qui est déjà une nation. Mais
condamner
le « fascisme » allemand, et fonder sur cette condamnation une politi
11
ains soviétiques l’ont compris. Aussi les voit-on
condamner
la théorie marxiste originelle qui veut que la culture socialiste nai
12
s nos buts prochains, nos fins dernières. Si nous
condamnons
ces religions, c’est dans leur terme, au nom d’un acte de foi contrai
13
ines vivantes. Il ne s’agit pas de morale ! Ni de
condamner
pour le mauvais plaisir d’avoir raison. Mais il s’agit de refaire une
14
ent, pour une fois, sans tricher. Mais non : pour
condamner
une société, il faudrait plus de charité réelle, c’est-à-dire plus de
15
itler !) Mais on oublie peut-être que Nietzsche a
condamné
l’antisémitisme, raillé le nationalisme, dénoncé le socialisme, et dé
16
ans la vie, de rêves dans l’affreuse vie, où l’on
condamne
avec indifférence, et où tout le monde en fait est coupable de tout :
17
atique, donc non matériel. Cette vue pouvait être
condamnée
en toute tranquillité avant les découvertes de la mécanique ondulatoi
18
li par aucun texte univoque de l’Évangile83. Elle
condamnait
la procréation comme relevant de la loi du Prince des ténèbres, c’est
19
thique » (c’est la « plénitude du temps ») ; puis
condamne
enfin ce mariage, suprême obstacle du « stade religieux », puisqu’il
20
ur) ne peuvent que nous en détourner. Kierkegaard
condamna
d’abord les pasteurs qui refusaient le célibat ; puis Luther et Calvi
21
naturel ne pouvait pas l’imaginer. Il était donc
condamné
à croire Éros, c’est-à-dire à se confier dans son désir le plus puiss
22
e ses termes. Je l’ai dit et j’y insiste encore :
condamner
la passion en principe, ce serait vouloir supprimer l’un des pôles de
23
fait, cela n’est pas possible. Le philistin qui «
condamne
» de la sorte et à priori toute passion, c’est qu’il n’en a connu auc
24
d’admettre quoi que ce soit de ce genre. Elle se
condamne
à l’enregistrement sans intervention de l’esprit. (C’est d’ailleurs t