1 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
1 iste des êtres que l’attitude du pessimisme actif condamne sans discussion et sans appel. Et c’est peut-être vis-à-vis d’eux seu
2 pe de notre politique ; il est bien clair qu’elle condamne , dans la mesure où ces idolâtries sont suspendues à la réussite matér
3 la foi. Je songe ici à l’armature catholique, qui condamne cette Église au réformisme modéré, c’est-à-dire à un effort pour dure
2 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
4 en. Certes, il y a des abus partout, mais de là à condamner la notion même d’expérience ! N’est-ce pas au récit de ses miracles q
5 i nous faisons autre chose ? Oui, même quand nous condamnons Nicodème au nom d’une meilleure théologie, faisons-nous autre chose q
6 icodèmes ! et jamais plus qu’en ce moment où nous condamnons Nicodème… Voilà pourquoi Nicodème n’est pas mort : il demeure parmi n
7 sse, — justement, en son nom ! Et non pas pour la condamner ou la nier dès le principe ! Car je reconnais avec vous qu’il faut d’
8 e Baptême et cette Cène. Certes, ces paroles nous condamnent dans la mesure où nous les prononçons sans foi, hors de toute « crain
3 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
9 l se fait que le pape n’ait jamais, que je sache, condamné Bossuet pour avoir écrit ce qui suit. (C’est au sujet de la Messe, po
10 u’il avait fait, et les apôtres suivi, et même de condamner sévèrement cette pratique. » — Si nous comprenons bien, l’Église prou