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iste des êtres que l’attitude du pessimisme actif
condamne
sans discussion et sans appel. Et c’est peut-être vis-à-vis d’eux seu
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pe de notre politique ; il est bien clair qu’elle
condamne
, dans la mesure où ces idolâtries sont suspendues à la réussite matér
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la foi. Je songe ici à l’armature catholique, qui
condamne
cette Église au réformisme modéré, c’est-à-dire à un effort pour dure
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en. Certes, il y a des abus partout, mais de là à
condamner
la notion même d’expérience ! N’est-ce pas au récit de ses miracles q
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i nous faisons autre chose ? Oui, même quand nous
condamnons
Nicodème au nom d’une meilleure théologie, faisons-nous autre chose q
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icodèmes ! et jamais plus qu’en ce moment où nous
condamnons
Nicodème… Voilà pourquoi Nicodème n’est pas mort : il demeure parmi n
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sse, — justement, en son nom ! Et non pas pour la
condamner
ou la nier dès le principe ! Car je reconnais avec vous qu’il faut d’
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e Baptême et cette Cène. Certes, ces paroles nous
condamnent
dans la mesure où nous les prononçons sans foi, hors de toute « crain
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l se fait que le pape n’ait jamais, que je sache,
condamné
Bossuet pour avoir écrit ce qui suit. (C’est au sujet de la Messe, po
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u’il avait fait, et les apôtres suivi, et même de
condamner
sévèrement cette pratique. » — Si nous comprenons bien, l’Église prou