1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 l a vécu tragiquement la tentation orientale, l’a condamnée , l’a dépassée, acceptant comme Goethe les conditions réelles et donné
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
2 erons notre sang. Il y a une vérité qui domine et condamne tout cela. Entre le communisme et la révolution personnaliste, l’oppo
3 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
3 s les situations de ce livre ? Cette Loi qui nous condamne quoi que nous fassions, ce Juge impitoyable, cette instance suprême q
4 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
4 tive de l’Éternel dans ce temps. Cette définition condamne tout mysticisme qui ne serait, comme le veut M. Chuzeville, que la « 
5 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
5 e pain du corps (c’est le principe !). La liberté condamne la dictature, mais dès qu’elle la supprime pratiquement, elle perd to
6 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
6 Mais c’est aussi, dans le monde d’aujourd’hui, se condamner à n’être pas compris. Paradoxe d’un génie catholique, isolé de la fou
7 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
7 a Nation ! Or ce cri qui lui donne la victoire le condamne . Je simplifie encore la thèse : Napoléon gagne Waterloo parce qu’il r
8 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
8 est, mais que l’Est se devait d’ignorer, voire de condamner , telles que l’originalité, les droits de l’homme, le record, la gloir
9 sprit, qu’indifférent. (Quoique la morale sociale condamne radicalement l’adultère de la femme mariée ; mais ce n’est pas au nom