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s plus grandes de loisir. C’est pourquoi elle est
condamnée
à une espèce de dégradation, dans la mesure même où son effort pratiq
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ouvelle de communion humaine. On s’en voudrait de
condamner
en trois formules une démarche qui entraîne à l’origine notre adhésio
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iques ensuite. Les auteurs du plan commencent par
condamner
le Parlement, « dont le fonctionnement exclut par définition une réno
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oudrais de chercher les poux dans ce Plan qui est
condamné
à sombrer dans l’inefficacité. Si j’ai souligné les points où il semb
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ment et spirituellement au désordre ancien qu’ils
condamnent
. Ils sont bien trop pressés de réussir, et si jamais ils réussissent,
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naire, qui fait défaut au Plan du 9 juillet et le
condamne
à n’aboutir, pratiquement, et si justes que soient les velléités qu’i
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anticapitaliste (en théorie), M. de la Rocque ne
condamne
du capitalisme que ses « parasites ». Enfin, le fascisme est un mouve
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s motifs qu’on peut admettre généreux, il se voit
condamné
aussitôt à des complicités honteuses et moralement dégradantes. Bien
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tifiques comme « dangereuses », puisque Staline a
condamné
Einstein, tout de même qu’un pape condamnait Galilée, etc., etc. (Ce
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line a condamné Einstein, tout de même qu’un pape
condamnait
Galilée, etc., etc. (Ce ramassis d’erreurs de fait rappelle à s’y mép
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’est pas possible sans l’autre. Tout étatisme est
condamné
à se vouloir franchement totalitaire, sinon c’est l’échec assuré. (No
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en mal venu à critiquer ce qui se fait ici ! Vous
condamnez
notre centralisme, notre nationalisme, notre passion unitaire, notre
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imée par une volonté de retour à l’économique fut
condamnée
à l’échec dès le départ, du simple fait qu’elle se poursuivit dans le
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d’on ne sait quelle lame de fond, ce serait nous
condamner
à la stérilité d’une action bâclée, donc au triomphe rapide d’une réa