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ge de lumière en Ange et Prince des ténèbres, l’a
condamné
à un impérialisme sans limites, donc par définition désespéré. La per
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imagination, puis le désir, d’un bien que le réel
condamne
et que le plan divin ne prévoit pas. Satan, lorsqu’il tente le Christ
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le plaisir d’avoir raison. Aussi, partout où l’on
condamne
sans pitié son prochain ou soi-même, soyez sûrs que c’est le diable q
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dans la mesure où nous ne reconnaissons pas et ne
condamnons
pas en nous aussi la mentalité des totalitaires, c’est-à-dire : la pr
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iminel, cela ne justifie pas le criminel, cela me
condamne
. Et puisqu’il faut combattre le crime, je ne dirai pas que je vais la
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aire. Voilà la vérité qui nous éclaire, mais nous
condamne
aussi, car nous ne sommes pas des saints. Et qui donc oserait même, s
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us simplement encore, plus doucement et sans rien
condamner
: l’heure n’est-elle pas trop grande pour nos cris ? Je voudrais dire
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nt qu’on n’avait même plus « l’hypocrisie » de la
condamner
comme telle. 20. Baudelaire encore, en plein xixe siècle… 21. Benj