1 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
1 ge de lumière en Ange et Prince des ténèbres, l’a condamné à un impérialisme sans limites, donc par définition désespéré. La per
2 imagination, puis le désir, d’un bien que le réel condamne et que le plan divin ne prévoit pas. Satan, lorsqu’il tente le Christ
3 le plaisir d’avoir raison. Aussi, partout où l’on condamne sans pitié son prochain ou soi-même, soyez sûrs que c’est le diable q
2 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
4 dans la mesure où nous ne reconnaissons pas et ne condamnons pas en nous aussi la mentalité des totalitaires, c’est-à-dire : la pr
5 iminel, cela ne justifie pas le criminel, cela me condamne . Et puisqu’il faut combattre le crime, je ne dirai pas que je vais la
3 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
6 aire. Voilà la vérité qui nous éclaire, mais nous condamne aussi, car nous ne sommes pas des saints. Et qui donc oserait même, s
7 us simplement encore, plus doucement et sans rien condamner  : l’heure n’est-elle pas trop grande pour nos cris ? Je voudrais dire
8 nt qu’on n’avait même plus « l’hypocrisie » de la condamner comme telle. 20. Baudelaire encore, en plein xixe siècle… 21. Benj