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athéisme sur la foi de leurs ultimes conclusions (
condamnées
et souvent détruites), tandis qu’il ne manque pas d’écoles hindoues p
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ne nous innocente ; au contraire, notre foi nous
condamne
. La cruauté de l’Oriental est fatidique, et par suite sans mesure, sa
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est proclamé, l’erreur de Nestorius vient d’être
condamnée
, et la population de la ville éclate en transports d’allégresse, accl
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an où l’histoire en lit les témoignages, il était
condamné
au progrès, c’est-à-dire à la recherche sans fin d’un équilibre dont
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» (il y a pourtant les actes des conciles), on se
condamne
du même coup à juger sans comprendre les faits et les objets visibles
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normal que toutes les hérésies du xiie siècle le
condamnent
. Elles allèguent les abus, mais en réalité, c’est à l’usage même qu’e
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sécution, la paranoïa de l’Occident. Qui voudrait
condamner
l’élan communautaire générateur de nos révolutions jugerait dans l’ir
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pas déjà dans le plan qu’on projette, c’est ainsi
condamner
le futur à n’être rien de plus que le passé, où l’aujourd’hui tombera
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sme et du manichéisme, l’orthodoxie chrétienne ne
condamne
pas le monde manifesté de la Nature. La doctrine de l’Incarnation, qu
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opulations du cercle arctique (Suède et Norvège),
condamnées
au loisir pendant six mois d’hiver : elles se tournent vers la cultur
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ion légale des castes et de l’esclavage organisé.
Condamné
en tant qu’institution sacrée par saint Paul et les premiers chrétien
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que les premiers, les ayant mieux connues jadis,
condamnent
d’autant plus sévèrement. Du point de vue du mythe collectif : le peu
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is aussi conçu le pacifisme, l’idée chrétienne de
condamner
la guerre. Elle a certes créé le nationalisme, mais aussi l’idée fédé
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ités de l’Orient gardent donc leur plein droit de
condamner
les erreurs de l’Occident. En revanche, l’Occident se doit, au nom de
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lus nombreux de ceux qui le tenaient pour mort et
condamné
. Et soudain la Sagesse éternelle apparaît, Minerve s’adresse au héros