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illeries et tentent de restaurer le nationalisme,
condamné
par les catastrophes récentes. Les autres pensent qu’en déplaçant que
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ion divine d’un homme ou d’un organisme collectif
condamnera
tout système qui, mécaniquement, empêche la réalisation de cette voca
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t, empêche la réalisation de cette vocation. Elle
condamnera
, par conséquent, au nom de la théologie, les grandes machines bureauc
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a machine et non selon leur vocation réelle. Elle
condamnera
le système du capital privé dans la mesure où le mouvement des biens
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oits conférés par l’exercice d’une vocation. Elle
condamnera
tout système économique qui fait de l’homme le jouet des intérêts de
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e, et dans les eaux plus bas que la terre. » Cela
condamne
toute espèce d’art plastique. « Tu n’auras pas d’autres dieux devant
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’auras pas d’autres dieux devant ma face » — cela
condamne
la mythologie et la fabulation, où les Aryens puisent leur art de tro
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théologie a pour conséquence immédiate qu’ils se
condamnent
à découvrir, tous les vingt ans, des Amériques depuis longtemps colon
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tion de Wagner et de Baudelaire, que nos ancêtres
condamnaient
, et frappaient d’amendes… Cette allégorie signale l’existence d’une s
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prolongeant la soif de romance, même si elle est
condamnée
par les nouvelles réalités sociales. Ceux qui parlent de notre époque
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et à subir en gémissant les lois d’un monde qu’il
condamne
! Car alors, où serait son refus ? Et quelle preuve aurions-nous de s
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positive de l’union au nom de laquelle doit être
condamnée
l’hérésie unitaire. Doctrine de la multiplicité des dons accordés par
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s ? Deuxième illusion fataliste : « L’Europe est
condamnée
». L’Europe détrônée par deux guerres et ruinée par sa division en vi
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lise s’était attachée et au nom desquels elle les
condamnait
. Ils contribuèrent ainsi à ramener la pensée occidentale vers l’unive