1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 ésies docétistes et gnostiques, lesquelles furent condamnées par les conciles pour leur spiritualisme excessif et unilatéral. Le c
2 d’extravagante ou d’immorale, et l’Église peut la condamner . Il n’en reste pas moins qu’elle a sa source vive — quoique lointaine
3 ge en âge à créer, à émigrer, à exporter, et nous condamnent à l’expansion. Que ce mouvement ait été baptisé impérialisme paraît a
4 lective de l’orgueil, antichrétienne par essence, condamnée nommément par le pape et les chefs de toutes les Églises, condamnée d
5 t par le pape et les chefs de toutes les Églises, condamnée d’autre part par les conditions mêmes de l’économie, de la technique
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
6 le Français cultivé se voit naturellement porté à condamner le fédéralisme interne comme visant à la division de l’État souverain
7 is chose curieuse, cela ne l’empêche nullement de condamner le fédéralisme externe comme visant cette fois-ci à l’intégration tot
8 re le recteur d’une de nos universités cantonales condamner le principe d’une subvention fédérale, « parce qu’ici, disait-il, nou
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
9 appel désespéré, et qui restera vain, à l’Empire condamné et bafoué. Les cinq siècles suivants verront se renforcer et se sacra