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s plus courantes. Négliger d’y répondre serait se
condamner
à baser tout un livre sur un quiproquo. 3. Pour ceux qui n’en voie
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ge de lumière en Ange et Prince des ténèbres, l’a
condamné
à un impérialisme sans limites, donc par définition désespéré. La per
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imagination, puis le désir, d’un bien que le réel
condamne
et que le plan divin ne prévoit pas. Satan, lorsqu’il tente le Christ
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s histoires individuelles… Aussi, partout où l’on
condamne
sans pitié son prochain ou soi-même, soyons sûrs que c’est le diable
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’Inconscient collectif et l’activité quotidienne.
Condamnez
-les et vous créerez une sécheresse générale, nécessairement suivie d’
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dans la mesure où nous ne reconnaissons pas et ne
condamnons
pas en nous aussi la mentalité des totalitaires, c’est-à-dire : la pr
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iminel, cela ne justifie pas le criminel, cela me
condamne
. Et puisqu’il faut combattre le crime, je ne dirai pas que je vais la
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pour atteindre le Juge et connaître sa loi. On le
condamne
à mort, sans recours, malgré l’appui d’un avocat marron, sorte de prê
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féconde de la culture occidentale. C’est donc se
condamner
à refaire sans le savoir les découvertes spirituelles mises en forme
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s mauvaise en soi, bien au contraire. La Bible la
condamne
dans ses abus, comme elle condamne la prostitution tout en louant la
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e. La Bible la condamne dans ses abus, comme elle
condamne
la prostitution tout en louant la volupté dans le plus beau de ses Ca
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aire. Voilà la vérité qui nous éclaire, mais nous
condamne
aussi, car nous ne sommes pas des saints. Et qui donc oserait même, s
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us simplement encore, plus doucement et sans rien
condamner
: l’heure n’est-elle pas trop grande pour nos cris ? Je voudrais dire
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nt qu’on n’avait même plus « l’hypocrisie » de la
condamner
comme telle. 33. J’emploie le terme italien célébré par Burckhardt e
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je me croyais radicalement contre le diable et le
condamnais
sans rémission, mais surtout que je le haïssais comme un bourgeois ha
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futile que de se fouetter pour le haïr serait de
condamner
ce diable sans lequel nous n’irions pas loin. Car en fait nous ne pou
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être scandaleux aux yeux de l’Église d’alors, qui
condamna
le livre. Mais enfin, pour pouvoir être sauvé, le diable devrait exis