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ssibilité de choisir et de se risquer, qui est la
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première de ce que l’Européen appelle sa liberté. Voilà pourquoi il s
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urope, ils veulent bien faire la paix, mais à une
condition
: c’est que M. Churchill n’en soit pas ! « S’il en est, nous ne march
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norités, destructrices des diversités qui sont la
condition
de la vie organique. Fédérer, ce n’est pas mettre en ordre d’après un
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vient de leur montrer que cette complexité est la
condition
même de nos libertés. C’est grâce à elle que nos fonctionnaires et no
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ins statique par hypothèse ? Quelles seraient les
conditions
requises ? Il faudrait se garder tout d’abord de composer un tableau
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aucoup de nos meneurs politiques : ils voient les
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de leur victoire, mais non ses suites.2) L’effort le plus soutenu, le
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ssibilité de choisir et de se risquer, qui est la
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première de ce que l’Européen appelle la liberté. Voilà pourquoi il s
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urope, ils veulent bien faire la paix, mais à une
condition
: c’est que M. Churchill n’en soit pas ! « S’il en est, nous ne march
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ns et buts d’une conférence (janvier 1950)l La
condition
profondément contradictoire dans laquelle vit l’Europe, depuis dix an
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faire ! Aux yeux d’un esprit objectif, toutes les
conditions
de la ruine sont réunies dans notre ciel et dans nos données immédiat
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s nos données immédiates ; mais ce sont les mêmes
conditions
qui pourraient être celles d’une renaissance. Nos divisions absurdes,
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aire exiger leur « élargissement » immédiat, sans
condition
. Le terme même « d’échanges culturels », avouons-le, est devenu bien
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fisant et vain de vouloir revenir simplement à la
condition
libérale qui était celle de l’esprit en Europe avant la guerre de 191
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et comment donc, tandis que d’autres veulent ses
conditions
. Certains préfèrent s’en tenir au possible — et presque rien ne leur
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modérés ceux qui parlent d’union mais refusent sa
condition
. Nous avons d’autres noms pour ces deux attitudes. M. Philip a des pa