1 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
1 mme ; que l’aviation n’a nullement transformé les conditions de notre bonheur, mais bien celles de notre malheur. Mais l’optimisme
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
2 rganiser. Je ne puis pas vous énumérer toutes les conditions nécessaires pour que nos paroisses redeviennent des communautés vérit
3 communautés véritables. Mais il est trois de ces conditions , entre vingt autres8, qui me paraissent à la fois indispensables et p
4 qui veut en avoir une ». En résumé, la première condition indispensable pour que l’Église devienne une vraie communauté, c’est
5 que le problème est urgent ! II La seconde condition , c’est que nos Églises redeviennent missionnaires à l’intérieur du pa
6 ent et doivent être dites du haut de la chaire, à condition , je le répète et j’y insiste, qu’il ne s’agisse jamais des idées pers
7 point de vue de la Bible. En résumé, la deuxième condition indispensable pour que l’Église reste ou devienne une vraie communaut
8 el tous peuvent communier. III La troisième condition d’une vraie communauté, je la définissais tout à l’heure comme suit :
9 nce des ive et ve siècles. 8. Parmi ces autres conditions dont je ne puis traiter ici : restauration théologique (elle est en p
3 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
10 l’économie) : on ne voit pas très bien, dans ces conditions , où, quand et en quoi une « morale » au sens traditionnel du terme se
11 herche du sens seront à la fois le contenu et les conditions de ce qu’il nommera sa « liberté ». Cela sera vu et ressenti comme un
12 , et d’ailleurs varient du tout au tout selon les conditions sociales, économiques, climatériques ou religieuses, de peuples que l