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. L’organisation de ses usines, des salaires, des
conditions
de travail et de repos qu’il offre à ses ouvriers semblent bien appor
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t très intelligent, il a vite fait de démêler les
conditions
les plus rationnelles de la production, avec cette netteté et cette d
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archisme stérile. 1° Accepter la technique et ses
conditions
. Dans cette mécanique bien huilée, au mouvement si régulier qu’il en
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la firent désirer. 2° Accepter l’esprit, et ses
conditions
. Je dis que les êtres encore doués de quelque sensibilité spirituelle
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(1930)b Deux menaces mortelles assiègent notre
condition
humaine : la liberté de l’esprit et les lois de la matière. Pris entr
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nce de leur vanité…, refus surtout. » Refus des «
conditions
» de la vie sociale, au profit d’une volonté de puissance dont l’obje
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le équivaudrait à une transformation radicale des
conditions
matérielles de la vie humaine. Je crois que l’homme ne peut être tran
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rs spirituelles leur primauté : car c’est à cette
condition
seulement que la vie humaine gardera sa signification. En somme, on p
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st pas la peur du monde-termitière qui sauvera la
condition
humaine menacée par le matérialisme : c’est un idéal positif, immédia
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Non pas que nous manquions de témoignages sur les
conditions
d’existence du prolétariat mondial, ni que nous ignorions que notre s
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pratiquement athées. Voici donc l’homme, dans sa
condition
menacée, réduit aux seules défenses qu’invente son calcul. Voici l’ho
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ible, c’est-à-dire le tragique essentiel de notre
condition
. C’est bien là que réside l’élément transcendant qui interdit à la pe
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es hommes de chair et de sang, reconnaissant leur
condition
concrète, mais connaissant aussi leur dignité, leur raison d’être per
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réation qui va toujours dans le sens de l’être, à
condition
qu’elle soit soutenue par une fidélité que l’auteur définit comme « u
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d’abord assuré l’autre vie, la vie des corps, les
conditions
physiques de l’existence. Que la justice est dans l’égalité de tous,
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on veut, que ce soit le bien ou le mal, une seule
condition
leur importe : qu’ils soient toujours comme tous les autres, qu’ils i
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Et comment se rendre à l’appel, si l’on pose ses
conditions
: « l’intelligible providence surnaturelle ! ». Toute-puissance des m
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in. Destin allemand pourrait aussi s’appeler « La
condition
humaine ». Et plusieurs des paroles de Pillau, — les plus belles peut
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e œuvre pourrait s’intituler tout aussi bien « La
condition
humaine ». C’est qu’elle éveille, en dépit de ses intentions national
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e que rien de tout cela ne peut durer. Aucune des
conditions
de survie d’une civilisation quelconque ne se trouve remplie par la n