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n de connaissance concrète du monde. Mais c’est à
condition
qu’on ne l’écrive pas, même en pensée. La poésie pure écrite est inco
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perdre est un des plus profonds mystères de notre
condition
, et je ne crois pas trop absurde d’y chercher l’origine non seulement
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tenu pour vrai peut être modifié ou complété, les
conditions
de la vérité sont, elles, immuables et éternelles… (p. 12). Les cond
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nt, elles, immuables et éternelles… (p. 12). Les
conditions
de la vérité sont donc éternelles (p. 13). Les philosophes, de tout t
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s créateurs qui parlent. Peu nous importe les «
conditions
» purement logiques d’une vérité, qui, à nos yeux, demeure constammen
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une réalité qui juge la logique même. Ce sont les
conditions
actuelles de la vérité qui nous posent un problème, et non pas ses c
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érité qui nous posent un problème, et non pas ses
conditions
« éternelles ». Nous ne pensons pas qu’il y ait lieu pour un philosop
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sophe, d’être rassuré par la découverte de telles
conditions
. Elles constitueront peut-être la dogmatique laïque de la philosophie
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, vision absolument sobre et désillusionnée de la
condition
humaine) qui est l’état dans lequel la vérité ne peut opérer dans not