1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
1 n de connaissance concrète du monde. Mais c’est à condition qu’on ne l’écrive pas, même en pensée. La poésie pure écrite est inco
2 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
2 perdre est un des plus profonds mystères de notre condition , et je ne crois pas trop absurde d’y chercher l’origine non seulement
3 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
3 tenu pour vrai peut être modifié ou complété, les conditions de la vérité sont, elles, immuables et éternelles… (p. 12). Les cond
4 nt, elles, immuables et éternelles… (p. 12). Les conditions de la vérité sont donc éternelles (p. 13). Les philosophes, de tout t
5 s créateurs qui parlent.   Peu nous importe les «  conditions  » purement logiques d’une vérité, qui, à nos yeux, demeure constammen
6 une réalité qui juge la logique même. Ce sont les conditions actuelles de la vérité qui nous posent un problème, et non pas ses c
7 érité qui nous posent un problème, et non pas ses conditions « éternelles ». Nous ne pensons pas qu’il y ait lieu pour un philosop
8 sophe, d’être rassuré par la découverte de telles conditions . Elles constitueront peut-être la dogmatique laïque de la philosophie
9 , vision absolument sobre et désillusionnée de la condition humaine) qui est l’état dans lequel la vérité ne peut opérer dans not