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t pas la forme d’un État qui compte, mais bien la
condition
qu’il ménage à l’Église, et l’idée de l’homme qu’il suppose. C’est en
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C’est en nous plaçant à ce double point de vue :
condition
de l’Église et conception de l’homme, que nous pourrons le mieux dépa
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naître la religion totalitaire, c’est la première
condition
pour éviter chez nous, pendant qu’il en est temps, des déviations qui
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de tirer des conclusions pratiques. Quelle est la
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faite à l’Église dans les pays totalitaires ? Cette première question
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. Ceci nous amène au second point : quelle est la
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faite à la personne dans les pays totalitaires ? C’est très simple. O
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e la charge dont ce droit représente à la fois la
condition
et la contrepartie. Le droit de propriété, par exemple, est à la fois
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droit de propriété, par exemple, est à la fois la
condition
d’une entreprise personnelle, et la juste contrepartie des risques qu
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s pourrions être les premiers. Mais à cette seule
condition
: de savoir au nom de quoi nous parlons. Et ce ne peut être qu’au nom
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auts, en s’élevant au point où ils deviennent les
conditions
d’une création unique. Au niveau de l’instruction publique, nous étou
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e ces temps, illustre le même équilibre entre les
conditions
de fait et les volontés de l’esprit. C’est une interminable interacti
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ls, linguistiques, idéologiques ou économiques, à
condition
qu’ils aient ceci de commun : l’œcuménicité, la volonté de relativise
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rix ou gratuite. D’où possibilité de supprimer la
condition
prolétarienne ; suppression du chômage périodique et technologique ;
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ysique par leur prestige moral. C’est la première
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de leur indépendance, même matérielle. Nos réalistes — toujours en re