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» par les règles de la chevalerie. C’est à cette
condition
seulement qu’elle pourra s’exprimer dans le demi-jour du mythe. Car e
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il est temps de passer à l’opération annoncée. La
condition
de sa réussite est sans doute une certaine froideur avec laquelle nou
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, dans une sorte de transcendance de nos communes
conditions
, dans un absolu indicible, incompatible avec les lois du monde, mais
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de secret, mais aussi garantie d’approbation sans
condition
de la part du lecteur de roman. La chevalerie, c’est la règle sociale
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trange erreur qui prend pour cause suffisante une
condition
simplement nécessaire. C’est aussi le scrupule scientifique, nous dit
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t soit le terme dernier, elle devient la première
condition
. Ce que l’Évangile appelle « mort à soi-même », c’est le début d’une
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ons. Il a été jusqu’à les revêtir. Et revêtant la
condition
de l’homme pécheur et séparé, mais sans pécher et sans se diviser, l’
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r qu’elle illustre, « loin de s’expliquer par les
conditions
où elle naquit, semble en contradiction absolue avec ces conditions32
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dent qu’elle ne reflète aucunement la réalité, la
condition
de la femme n’ayant pas été, dans les institutions féodales du Midi,
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un culte rendu à l’archétype divin de la femme, à
condition
que cette Déesse-Mère ne cesse pas d’être virginale, qu’elle échappe
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symboles du monde et des dieux) de transcender la
condition
humaine. Le tantrisme bouddhique trouve des analogies précises dans l
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s suppositions — souvent contradictoires — sur la
condition
de la femme en Languedoc. Vernon Lee, par exemple, dans un essai inti
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s savants. Notre « science » reste donc valable à
condition
qu’on change le signe de chacune de ses propositions. Par exemple, là
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n est un désir, conscient ou non, d’échapper à la
condition
terrestre insupportable, et si l’on est en droit d’y voir le rudiment
15
ires en ce sens qu’une certaine rhétorique est la
condition
suffisante de leur aveu, donc de leur prise de conscience. À défaut d
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e ses « qualités d’homme » le lient de fait à une
condition
pitoyable. C’est ce qu’il dit dans sa Chanson de la Grande Peste, che
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a trompés180. Agir, en vérité, c’est accepter les
conditions
qui nous sont faites, dans le conflit de l’esprit et de la chair ; et
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er qui touche l’écu s’engage à un combat dans les
conditions
décrites par les chapitres du pas d’armes. C’est à cheval qu’il faut
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ions de tempérament, de caractère, de goûts et de
conditions
externes qui ne manqueront pas de se produire un jour ou l’autre dans
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s soins d’une dictature exactement consciente des
conditions
de sa durée. Staline s’est assigné pour but prochain de refaire des c
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fortune. On pourrait certes imaginer de nouvelles
conditions
à remplir par les candidats au mariage — cette vraie « coexistence »
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-dire la durée, il serait normal d’en assurer les
conditions
. Mais ces réformes n’auraient que peu d’effet dans un monde qui a gar
23
tteindre, il ne me reste que la révolte contre ma
condition
de créature ; et au contraire, si je l’atteins trop aisément, je devi
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’une œuvre, à la faveur d’une œuvre, et aux mêmes
conditions
, dont la première est la fidélité à quelque chose qui n’était pas, ma
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œuvre, et de s’élever au plan de la personne. (À
condition
bien entendu que cette promesse ne soit pas faite pour des « raisons
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arce qu’il veut exalter la vie au-dessus de notre
condition
finie et limitée de créatures. Ainsi le même mouvement qui fait que n
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i définit mon Occident, définit en même temps les
conditions
profondes de la fidélité, de la personne, du mariage — et du refus de