1
sans préjudice des services que chacun, selon sa
condition
, doit rendre à son Seigneur. Et nous statuons et ordonnons, d’un acco
2
tenue pour préfigure du fédéralisme à venir ? Les
conditions
fondamentales d’une authentique fédération sont réunies : diversité d
3
ui se révèlent à la longue incompatibles avec les
conditions
de toute union : ainsi le fait pour Neuchâtel de rester la seule mona
4
le vrai sens du terme. Ce sera une force unifiée (
condition
d’efficacité) mais formée de contingents fournis par les cantons (res
5
t, car il en profiterait bientôt pour unifier les
conditions
de tous, ruinant ainsi la raison d’être de la Ligue. Or ce second réf
6
à voir dans la neutralité non plus seulement une
condition
d’union interne mais une garantie d’indépendance. Et c’est pourquoi P
7
ement à ces deux défis. En 1920, elle a posé pour
condition
à son entrée dans la SDN d’être dispensée de toute participation aux
8
inissent mal : et personne n’a jamais formulé les
conditions
de la bonne mort d’un régime. Ce que l’on doit constater, et que l’on
9
e quelques cantons, accepté par un seul mais à la
condition
qu’onze autres au moins s’y rallient, le projet fut abandonné par la
10
is-à-vis de l’extérieur, les autres invoquent les
conditions
spéciales qui justifient le protectionnisme pratiqué par leur canton
11
le fonctionne de nos jours, c’est-à-dire dans des
conditions
qui ne pouvaient être prévues pour la plupart à l’époque de sa mise e
12
arque est importante. Elle nous fait entrevoir la
condition
des libertés civiques dans un régime fédéraliste, et c’est l’apparten
13
ions humaines » plus fréquentes : ils y voient la
condition
préalable et nécessaire de l’union politique désirée. Leurs adversair
14
ualités de travail et d’invention, compensant des
conditions
de départ particulièrement défavorables, la nature suisse devait enfi
15
érations de maisonnettes de brique monotones, des
conditions
d’hygiène pitoyables, tandis que la transformation d’un glacier en én
16
e seraient-ils pas, dans leur statut précaire, la
condition
de notre prospérité ? Mais surtout, leur présence oblige le Suisse mo
17
cartels cantonaux. Il serait difficile, dans ces
conditions
, d’imaginer qu’une grève puisse s’étendre rapidement au plan national
18
nant compte des diversités traditionnelles et des
conditions
locales. Son fonctionnement complexe suppose un haut degré de sens co
19
joncture européenne. Quoi d’étonnant si, dans ces
conditions
, le Suisse moyen et même le grand patron, le chef syndicaliste, ou le
20
e qu’on serait seul à posséder ; et que ces trois
conditions
n’étant pas réunies, l’indépendance politique n’est en fait qu’une ma
21
dinateur d’abord, puis de bailleur de fonds, sous
condition
d’ententes à réaliser entre universités et entre sociétés ; enfin il
22
nt des réalistes sans cynisme. Ils acceptent leur
condition
, parce qu’ils en connaissent bien les données de faits et les impérat
23
ent avec des chefs syndicalistes très avertis des
conditions
de la productivité. Le fonds commun sur lequel peuvent compter syndi
24
qu’il est réaliste sans cynisme, qu’il accepte sa
condition
comme il approuve son régime politique et acclame son niveau de vie n
25
— voyons maintenant les Suisses exceptionnels.
Condition
du « grand homme » en Suisse Dans un film naguère célèbre, Orson W
26
ement nos petits compartiments. Que fera dans ces
conditions
l’homme de talent ou d’ambition ? Il a trois possibilités : essayer d
27
osent les petites dimensions de notre État et les
conditions
de sa paix. Se rendre invisible, passer inaperçu. — Il y a ceux qui
28
t de la psychologie moyenne expriment surtout les
conditions
dictées par les petites dimensions du pays et des communautés diverse
29
e dominant dans la Suisse centrale.) Si, dans ces
conditions
, la Confédération avait jugé bon d’établir l’université suisse prévue
30
de certains écrivains auxquels leur ignorance des
conditions
réelles du progrès permet seule de se dire progressistes, j’ose pense
31
lleurs) qui voudraient que la Suisse renonce sans
condition
à toute idée de neutralité. Mon idéal très clair — mon utopie — est q
32
ire de la formule qui paraît la mieux adaptée aux
conditions
du monde de demain, elle serait donc désignée plus que tout autre pou
33
iques qui se jouent à l’échelle du continent. Ces
conditions
idéales se trouvent réunies par la Suisse, d’ailleurs gardienne tradi
34
de l’inconscient collectif et recherches sur les
conditions
sociologiques et politiques du milieu où prit corps la légende, au xv
35
beau qu’il faut que j’en croie mes oreilles.) Ces
conditions
de « bonheur » sont, de toute évidence, réunies par la Suisse et pres
36
complexé qu’un autre — qui se dit satisfait de sa
condition
: interrogés par un institut de sondages d’opinion, 93 % des Suisses
37
la guerre de 1939 vint modifier profondément les
conditions
du discours descriptif et critique sur la Suisse. D’une part, nous av