1 re et responsable, l’un étant le complément et la condition de l’autre. Si la cité devient trop grande, il n’y a plus que des ind

2 a dialectique de l’esprit pur. Il leur oppose les conditions économiques concrètes de l’homme, qui déterminent les rapports sociau

3 e d’universalité 25 octobre 1968 La principale condition d’agrégation d’un peuple à l’empire est celle-ci : ce peuple doit ren

4 ns la guerre, dans la poursuite de la guerre, les conditions du renforcement continuel de son pouvoir. 22 novembre 1968 La nation

5 a fait son temps, qu’elle n’est plus adaptée aux conditions , ni politiques, ni économiques, encore moins sociales de la fin du xx

6 mais qui, quand on réussit à les empêcher, est la condition même de la richesse culturelle et des libertés des Européens. Il faut

7 e une possible union politique, présente les deux conditions de base nécessaires à toute formation fédérale : des diversités irréd

8 ont moteurs. L’unité est toujours conçue comme la condition de la force, et en même temps comme la condition de la paix. On le re

9 condition de la force, et en même temps comme la condition de la paix. On le retrouve dans le langage proverbial de la politique

10 e très bien acceptant d’en déléguer une partie, à condition que l’organe auquel il la déléguerait lui garantisse sa souveraineté.

11 contradictoire avec l’autre, mais pratiquement la condition de l’autre. 28 octobre 1966 Aux yeux de la plupart des auteurs contem

12 rt, des expériences déjà réalisées dans certaines conditions historiques, et que l’on peut décrire ; et il y a d’autre part, des f

13 voyons dans les deux cas réunies les principales conditions nécessaires à la formation d’un régime de type fédéral : la volonté d

14 régimes, de langues, d’ethnies, de coutumes ou de conditions économiques et comment, pour sauver ces autonomies, est-il nécessaire

15 rouve être beaucoup mieux adapté ou adaptable aux conditions nouvelles de la société ; tandis que, d’autre part, les techniques mo

16 ormer les ordinateurs électroniques de toutes ces conditions locales, infiniment enchevêtrées, dont il faut tenir compte et dont,

17 n ou la fécondité des échanges. Réunir toutes les conditions d’hégémonie pour un État-nation ou essayer de se rendre utile, voire

18 , qui ne sont pas non plus une évasion devant les conditions pratiques de l’action, mais au contraire qui sont des descriptions d’

19 ndividu » sont presque des synonymes, et que leur condition commune est précisément ce passage du sacré au profane, qu’on appelle

20 pas le contraire de la personne, c’est plutôt la condition nécessaire. Enfin, la personne n’existe que dans ses actes. Elle n’es

21 découlera des buts de toute communauté et de ses conditions de formation et de fonctionnement. Les termes étant équivalents, on p

22 e et la personne ont les mêmes ennemis, les mêmes conditions et exigences, les mêmes critères. Les mêmes ennemis : le culte du pro

23 s le droit à la variété, que Rousseau acceptait à condition que ce ne soit pas une variété fanatique qui veuille s’imposer aux au

24 te interprétation, et de rappeler que la première condition d’application de ses théories, c’est la petitesse d’un pays. 3. Id

25 s et sociales, qui se trouvent être à la fois les conditions de réalisation et les résultats de l’application de cette politique,

26 imum de combinaisons en tension. La recherche des conditions optimales entre des finalités antinomiques, voilà, à mon sens, la pol

27 le pouvoir, c’est la communauté qui a l’autorité, condition d’exercice du pouvoir. Les idéologies politiques modernes ont déplacé

28 ique digne du nom commencera donc par définir les conditions concrètes d’exercice du civisme, les dimensions variées des tâches pu

29 s à renouveler non seulement la méthode, mais les conditions concrètes d’un grand nombre d’activités culturelles en Europe. En ef