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de risques mortels. Pour la jeunesse de 1932, le
conflit
de vivre, le paradoxe fondamental de toute « existence » se concrétis
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nt l’ampleur est sans précédent. Ce n’est plus de
conflits
d’idées qu’il s’agit, ni même de conflits d’intérêts. Mais pour nous,
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plus de conflits d’idées qu’il s’agit, ni même de
conflits
d’intérêts. Mais pour nous, entrés dans la vie sous le coup d’une men
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ce donc plus, comme le marque Th. Maulnier, qu’un
conflit
d’intérêts ? Et d’intérêts qui ne sont pas les nôtres, qui ne sont pa
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usent toute synthèse, toute solution mécanique du
conflit
nécessaire et vital. Il n’y a pas de troisième terme, — ou c’est la m
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es élémentaires : elle n’est qu’une projection du
conflit
de la personne. Les marxistes nous accusent de mêler des notions « mo
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affirme. 19. Toute solution systématique du vrai
conflit
nécessité-liberté dans la mesure où elle existe en sol et dans sa dur
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supprime l’un des deux premiers termes. Ainsi des
conflits
individu-société, petite patrie-nation culturelle, initiative privée-