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personne, définie comme l’individu engagé dans le
conflit
créateur6. À cet engagement personnel, nos révoltés préfèrent l’engag
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que la thèse, la seule vérité résidant dans leur
conflit
nécessaire, assumé en pleine conscience. Telle sera notre position d’
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ous : la personne c’est l’individu engagé dans le
conflit
créateur. Conflit qui se résout par l’acte, — cet acte provoquant un
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c’est l’individu engagé dans le conflit créateur.
Conflit
qui se résout par l’acte, — cet acte provoquant un conflit et un risq
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ui se résout par l’acte, — cet acte provoquant un
conflit
et un risque nouveaux, générateurs de créations nouvelles. L’acte et
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es institutions reproduisent à tous les degrés le
conflit
et la tension qui définissent la personne en acte. 6° Ces institution
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re la nature concrète de l’homme, qui comporte le
conflit
. Les institutions, n’ayant pas compté avec l’homme concret, n’ont pas
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oncret, n’ont pas compté avec le principe de tout
conflit
, et sont sans forces contre les conflits qui surgissent. Elles essaie
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e de tout conflit, et sont sans forces contre les
conflits
qui surgissent. Elles essaient alors de déshumaniser les hommes. Elle
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stérilisation. — D’ailleurs, elles échouent. Les
conflits
qui éclatent sont alors sanglants. L’évolution de la notion d’individ
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oits de l’homme, ayant cru remarquer que tous les
conflits
humains naissaient des différences entre les hommes, conçurent cette
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evait dans l’esprit des théoriciens supprimer les
conflits
en supprimant les différences, aboutit à rendre les différences insup
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omme concret, c’est-à-dire l’homme engagé dans le
conflit
vital qui l’unit et l’oppose à son prochain. La personne, c’est l’hom
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re la nature concrète de l’homme, qui comporte le
conflit
. Les institutions qui comptent avec l’homme concret, comptent avec le
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’homme concret, comptent avec le principe de tout
conflit
, et ont pour but de rendre les antagonismes féconds pour l’ensemble d
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ce. Fortes de leur souplesse, elles empêchent les
conflits
de s’accumuler et d’éclater en désordres sanglants. Si le troisième p
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is existé qu’à l’état de définition. Parti[r] des
conflits
quotidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des conflits qui nai
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définition. Parti[r] des conflits quotidiens, des
conflits
d’intérêts et d’idéaux, des conflits qui naissent de la diversité des
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tidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des
conflits
qui naissent de la diversité des régions et des races, — pour les uti
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Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)m Un
conflit
religieux « déchire » la France lors de l’avènement de Henri IV. Ains
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lent nos manuels. Car selon les manuels, tous les
conflits
« déchirent », tous les édits « apaisent », si c’est l’État qui les a
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-il « apaisé » quoi que ce soit, en imposant à un
conflit
spirituel le cadre étatique d’un décret destiné avant tout à raffermi
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homme qui venait d’« apaiser » par une boutade le
conflit
qui depuis longtemps avait « déchiré » sa conscience, l’homme du « Pa
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antagonistes ? Fixer, cristalliser de la sorte un
conflit
, c’est fixer et cristalliser un désordre. C’est croire que l’absence
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tés spirituelles, et sous prétexte d’apaiser leur
conflit
. Si l’on rappelle en outre les guerres du Languedoc entre Rohan et Ri
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our la vie politique et économique du pays. b) Le
conflit
spirituel étouffé par la force, sans être en rien résolu pour autant,
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ercher par quels moyens Henri IV eût pu donner au
conflit
politique et religieux de son époque une tournure moins fatale pour l
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ndiquer pour mémoire : la scission socialiste, le
conflit
mal dissimulé de l’Action française et du comte de Paris, la décompos
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Nous reconnaissons la réalité et la nécessité des
conflits
humains. Mais il y a d’autres solutions que la guerre. Faire valoir t
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tre optique, oui ! Parce que vous placez tous les
conflits
dans le cadre rigide des nations. La nation-bloc, telle que vous la c
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ut l’effort de la civilisation est là : tirer des
conflits
naturels et nécessaires des forces nouvelles, et non pas aboutir à la
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ellement humaine, c’est-à-dire qu’elle exprime un
conflit
permanent et fécond, celui du créateur et du monde tel qu’il est ou t
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e la logique rigide du système devait conduire au
conflit
armé avec Carthage, source profonde, si indirecte qu’elle apparaisse,
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érales. L’État est devenu l’arbitre souverain des
conflits
sociaux, et la notion de Bien commun national s’est substituée à cell
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tion.) Et c’est la guerre de 1914. Cet inévitable
conflit
ne résout rien, bien au contraire. Il suscite une formidable concurre
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nomie rationnelle mondiale) — ne peut être que le
conflit
armé, à une échelle monstrueuse. Ainsi le capitalisme a brisé les rap
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on des violences passionnelles qu’a déchaînées le
conflit
espagnol ? Combats, sinon d’aveugles, du moins de borgnes. Et les Fra
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onc être amené à juger en dernier ressort de tous
conflits
qui auraient été portés d’abord devant des tribunaux particuliers, da
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des tribunaux particuliers, dans la mesure où ces
conflits
intéressent les personnes humaines en tant que telles. Plus encore to
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connaissance du fait capital de la polarité et du
conflit
multiformes de l’homme avec le monde et avec lui-même77, conflit qui
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rmes de l’homme avec le monde et avec lui-même77,
conflit
qui trouve son expression sociale vivante et dynamique aussi bien dan
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mettaient leur soin à vivre en marge de tous les
conflits
et refusaient d’être considérés comme des citoyens responsables, ils