1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
1 ne prophétie qui se retourne. De Man part donc du conflit qui oppose au xxe siècle une culture bourgeoise décontenancée et une
2 iste : elle aboutit à mettre en évidence le vieux conflit des exploiteurs et exploités. Il est vrai que de Man pousse « au-delà
3 it, et si cette analyse morale conduit au cœur du conflit véritable. Là où Marx se contente d’opposer des intérêts contradictoi
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
4 la vérité « pour nourrir une paix fardée32 ». Ce conflit de la mesure stérilisée, idolâtrée, et de la mesure recréée, c’est da
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
5 et sa foi dans ce miracle qui résoudrait seul le conflit du calcul et du rêve, du matériel et de l’humain, de la nécessité et
6 x plus actifs le mouvement stakhanoviste. 45. Le conflit de Marx et de Nietzsche dans la vie de beaucoup de jeunes hommes d’au
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
7 i résoudra en création toujours nouvelle le vieux conflit de l’individu et de la masse. 6° La violence nécessaire. — Car notre
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
8 és pour si peu dans le concret, j’entends dans le conflit et l’acte personnels. La pensée libre du bourgeois et la science des
6 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
9 tré, à son refus d’agir et de se risquer dans les conflits qui existent, ou que la pensée crée, la mission d’une culture nouvell
10 nouvelle sera d’accepter le combat, d’assumer les conflits vitaux, et de les résoudre en création. Voilà la grande opposition d’
11 Évolution contre Personne. Nous retrouvons ici le conflit de Marx et de Nietzsche. Mais derrière eux et avant eux, deux noms :
12 rait ses produits. La réalité vivante est dans le conflit .) Une pensée tendue vers l’action saura seule donner forme aux réalit
13 e dans ma vie. Ce risque atteste l’existence d’un conflit , c’est-à-dire la présence du réel. Il rend à ma pensée sa gravité, so
14 l s’agit là de deux mouvements de fuite devant le conflit humain tel qu’il se joue dans nos limites charnelles. Mais ce qui est
15 d’aujourd’hui abusent avec le même succès en des conflits non moins stériles, s’ils sont évidemment moins meurtriers. Comment u
16 ité d’une morale individuelle apte à résoudre les conflits sociaux se réduirait probablement aux vertus de surdité, de cécité et
17 estion ne peut être concrète — et ne peut être un conflit véritable — que si c’est un autre homme, en face de moi, qui me la po
18 ciples puissants nous assurent aujourd’hui que le conflit fécond, la communion du toi et du moi se résout pratiquement dans un
19 it aux règles de l’art. Nous l’avons ramené à des conflits éthiques. Au cœur de tout conflit fécond, de tout conflit qui ne se r
20 s ramené à des conflits éthiques. Au cœur de tout conflit fécond, de tout conflit qui ne se résout point dans une séparation ma
21 éthiques. Au cœur de tout conflit fécond, de tout conflit qui ne se résout point dans une séparation mauvaise, mais dans un act
22 prit de l’homme se manifeste dès l’origine par le conflit qu’il institue dans le monde. Mais ce conflit, s’il vient à perdre sa
23 le conflit qu’il institue dans le monde. Mais ce conflit , s’il vient à perdre sa violence, se relâche en éléments désormais dé