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eur du Roman de Tristan et Iseut veut y voir un «
conflit
cornélien entre l’amour et le devoir ». Cette interprétation classiqu
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’aventure de Tristan devait servir à illustrer le
conflit
de la chevalerie et de la société féodale — donc le conflit de deux d
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la chevalerie et de la société féodale — donc le
conflit
de deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 7, le conflit de deux «
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deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 7, le
conflit
de deux « religions » —, l’on s’aperçoit que bien des épisodes s’écla
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emeure le vassal d’un seigneur. D’où naîtront des
conflits
de droit, dont le Roman offre plus d’un exemple. Reprenons l’épisode
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èse, fort vraisemblable, que le Roman illustre un
conflit
de « religions », nous avons pu préciser et cerner les principales di
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sentielle). Amour du prochain. (Mariage heureux.)
Conflits
douloureux, passion exaltée. Le principe d’explication de ce tablea
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es troubadours. Voici Tristan livré au plus cruel
conflit
, lorsqu’au soir de ses noces avec Iseut aux blanches mains, il ne peu
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notre crise du mariage, il n’y a pas moins que le
conflit
de deux traditions religieuses, c’est-à-dire une décision que nous pr
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t de cette époque, est le premier témoignage d’un
conflit
que le mariage chrétien était censé résoudre. On y voit l’âme récemme
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pter les conditions qui nous sont faites, dans le
conflit
de l’esprit et de la chair ; et c’est tenter de les surmonter non plu
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bituelle de sexualité qui accompagnait les grands
conflits
ne s’est guère produite qu’à l’arrière dans les populations civiles.
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les deux livres terminaux : le premier situant le
conflit
du mythe et du mariage dans nos mœurs, le second décrivant une attitu
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de l’Amour, c’est-à-dire de l’Éros divinisant, en
conflit
éternel et angoissé avec la créature de chair et ses instincts asserv
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n instant ramener la crise actuelle du mariage au
conflit
de l’orthodoxie et d’une hérésie médiévale. Car cette dernière, comme
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rgissent sans fin des problèmes insolubles, et ce
conflit
menace en permanence toutes nos « sécurités » sociales. En d’autres t
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conformisme. Il n’y a plus, à proprement parler,
conflit
de deux morales hostiles — et par suite plus de mythe possible — mais
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science des rapports conjugaux. Jung analyse le «
conflit
psychologique » et les « névroses » qui seraient à l’origine du mal (
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rmale parmi les étudiants, le sérieux accordé aux
conflits
passionnels « à trois » ou « à quatre » — renouvelés de la Lucinde de
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e disputent notre Occident. La connaissance de ce
conflit
, de ses origines historiques et psychologiques, de son enjeu spiritue
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religion avec nos plus vieilles croyances, et du
conflit
de l’hérésie qui en résulta avec l’orthodoxie chrétienne. Première co
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u’il n’en a connu aucune, et qu’il est en deçà du
conflit
. Pour cet homme-là le seul progrès concevable est dans la crise de sa
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rivalité entre le vassal et son suzerain ; — d’un
conflit
entre l’hommage dû au suzerain et l’hommage donné à la femme ; — d’un
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mbreux soulèvements et émeutes occasionnés par le
conflit
religieux. D’autre part, on sait bien que saint François avait été le