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e désignent ces termes sont présentes, et sont en
conflit
à l’époque de la Réforme. Essayons de les dégager sommairement. Le bu
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forme dans l’évolution de l’Europe, puis dans les
conflits
actuels. J’ai essayé de vous montrer que sa doctrine représente, en s
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nne au moins la possibilité de rendre un sens aux
conflits
éternels — un sens, et s’il se peut, une fécondité… Pendant que les a
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nts, nous sommes engagés comme les autres dans le
conflit
spirituel. Chose étrange, sur ce plan-là, nous combattons en tant que
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e problème du fédéralisme sur le seul plan où nos
conflits
internes aient quelque chance de se résoudre : le plan de l’Europe. N
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l’attitude personnaliste, peut seule résoudre le
conflit
permanent au sein de toute fédération : celui qui oppose le pouvoir c
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de la « pratique » — par un dépassement des vieux
conflits
. Au lieu de la lutte stérile dont nous souffrons en Suisse, entre le
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tant d’autres, est à la base de la plupart de nos
conflits
politiques, économiques, parlementaires. 2. Ni gauche ni droite. — Le
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la mesure où elle nous exclut, précisément, d’un
conflit
que nous jugeons mauvais. (Reste à savoir si le conflit actuel est «
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t que nous jugeons mauvais. (Reste à savoir si le
conflit
actuel est « mauvais ». Puis, si notre tiédeur suffira pour que le mo