1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
1 ons et les tensions qu’ils instituent, dans leurs conflits latents et leurs conciliations improbables mais nécessaires, et dans
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
2 me les deux natures s’unissent pleinement et sans conflit , il n’en va pas ainsi du spirituel et du charnel dans l’homme pécheur
3 se seraient donné celui de leur modèle. Signe du conflit permanent qui les sous-tend et les gauchit perpétuellement : d’où ce
4 de l’ère rationaliste-moraliste dont procède sans conflits majeurs notre technique. L’Europe a derrière elle et porte en elle l’
5 echnique en conservant les traces vivantes et les conflits de toutes ces phases successives. Cette densité d’histoire est un res
6 classes victimes du Progrès, et d’une fin de nos conflits politiques et moraux. Faut-il penser que le communisme figure « histo
7 mbat les goûts personnels, qui seraient source de conflits improductifs, et même éventuellement de sabotage. Nous le voyons réta
8 hui, l’économie occidentale doit faire face à des conflits d’un autre ordre, celui de l’initiative privée et du dirigisme, par e
9 é dès le début de son ère aux contradictions, aux conflits nés de la permanente dualité de l’individu et de sa vocation, et prop
10 x compromis entre la peste et le choléra. Mais le conflit existentiel de la personne se reflète, ou mieux se projette, dans tou
11 ifiée de médiatrice, autant que d’instigatrice de conflits . Elle représente la « sagesse » de l’Occident, sagesse aventureuse et
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
12 erté pour tout homme, quel que soit son rang ; le conflit de ces deux exigences, qui est la source à la fois de l’instabilité d
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
13 iée à l’Occident, si l’on partait encore du vieux conflit entre la science et la religion, tel qu’il a dominé le xixe siècle ?
14 a science, en même temps que la liberté, sujet de conflits  ? N’est-elle pas englobée par ce qu’elle veut nier ? La seule questio
15 précédé la découverte des antinomies du réel : le conflit qui opposa les éléates et les tenants de Pythagore remonte au ve siè
16 taphysique, qui devait faire éclater en Europe le conflit de la science et de la religion. Ponctuée d’éclats sporadiques, la lu
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
17 qui le sous-tendent, ouvre un champ vierge à des conflits nouveaux, appelant eux-mêmes de nouveaux actes d’invention, et ainsi
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
18 du monde occidental. Mais on ne résout jamais un conflit dans son plan : il faut passer au-delà, soit dans le temps et l’espac