1 ent, je l’espère, d’un réalisme accru. Décrire le conflit nécessaire de la passion et du mariage en Occident, tel était mon des

2 in du livre V, en particulier, l’éventualité d’un conflit qui mettrait fin aux problèmes que j’étudiais. Cette crainte a bien f

3 eur du Roman de Tristan et Iseut veut y voir un «  conflit cornélien entre l’amour et le devoir ». Cette interprétation classiqu

4 ’aventure de Tristan devait servir à illustrer le conflit de la chevalerie et de la société féodale — donc le conflit de deux d

5 la chevalerie et de la société féodale — donc le conflit de deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 21, le conflit de deux

6 deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 21, le conflit de deux « religions » —, l’on s’aperçoit que bien des épisodes s’écla

7 emeure le vassal d’un seigneur. D’où naîtront des conflits de droit, dont le Roman offre plus d’un exemple. Reprenons l’épisode

8 èse, fort vraisemblable, que le Roman illustre un conflit de « religions », nous avons pu préciser et cerner les principales di

9 sentielle). Amour du prochain. (Mariage heureux.) Conflits douloureux, passion exaltée. Le principe d’explication de ce table

10 r la contradiction entre les idéaux (eux-mêmes en conflit  !) et la réalité vécue. La psyché et la sensualité naturelles se déba

11 es troubadours. Voici Tristan livré au plus cruel conflit , lorsqu’au soir de ses noces avec Iseut aux blanches mains, il ne peu

12 notre crise du mariage il n’y a pas moins que le conflit de deux traditions religieuses, c’est-à-dire une décision que nous pr

13 nt de cette époque est le premier témoignage d’un conflit que le mariage chrétien était censé résoudre. On y voit l’âme récemme

14 pter les conditions qui nous sont faites, dans le conflit de l’esprit et de la chair ; et c’est tenter de les surmonter non plu

15 bituelle de sexualité qui accompagnait les grands conflits ne s’est guère produite qu’à l’arrière dans les populations civiles.

16 les deux livres terminaux : le premier situant le conflit du mythe et du mariage dans nos mœurs, le second décrivant une attitu

17 de l’Amour, c’est-à-dire de l’Éros divinisant, en conflit éternel et angoissé avec la créature de chair et ses instincts asserv

18 mener directement la crise actuelle du mariage au conflit de l’orthodoxie et d’une hérésie médiévale. Car cette dernière, comme

19 rgissent sans fin des problèmes insolubles, et ce conflit menace en permanence toutes nos « sécurités » sociales. En d’autres t

20 conformisme. Il n’y a plus, à proprement parler, conflit de deux morales hostiles — et par suite plus de mythe possible — mais

21 science des rapports conjugaux. Jung analyse le «  conflit psychologique » et les « névroses » qui seraient à l’origine du mal (

22 rmale parmi les étudiants, le sérieux accordé aux conflits passionnels « à trois » ou « à quatre » — renouvelés de la Lucinde de

23 il est normal qu’à la première constatation d’un conflit de caractères ou de goûts, l’on se demande : pourquoi suis-je marié ?

24 disputent notre Occident. La connaissance de ce conflit , de ses origines historiques et psychologiques, de son enjeu spiritue

25 religion avec nos plus vieilles croyances, et du conflit de l’hérésie qui en résulta avec l’orthodoxie chrétienne. Première co

26 u’il n’en a connu aucune, et qu’il est en deçà du conflit . Pour cet homme-là le seul progrès concevable est dans la crise de sa

27 rivalité entre le vassal et son suzerain ; — d’un conflit entre l’hommage dû au suzerain et l’hommage donné à la femme ; — d’un

28 mbreux soulèvements et émeutes occasionnés par le conflit religieux. D’autre part, on sait bien que saint François avait été le

29 on lieu la personne fulgurante de Guillaume et le conflit merveilleusement fécond qui opposa le duc au moine. ⁂ Le Poitou et Gu

30 té de faire voir et sentir les contrastes vitaux, conflits , antinomies, qui sous-tendent notre réalité ; et d’en mieux définir l

31 eux natures en Jésus-Christ253 ; cependant que le conflit d’Éros et d’Agapè anime leurs journées et leurs rêves. Enfin la polit