1 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
1 scrupule d’orthodoxie, d’une dernière crainte de confondre l’homme et Dieu. Troxler esquive non sans adresse la difficulté et le
2 ne physique6. C’est « le royaume de l’Être qui se confond avec le royaume du Néant, l’éternité enfin conquise et dont la plénit
3 de perdre le réel, de se perdre soi-même, pour se confondre avec cet Indicible qui reste, aux yeux de la chair, le pur Néant. Ain
4 que la cause secrète de sa douleur en vient à se confondre avec le fait de vivre en général. D’où l’idée qu’il doit « expier la
5 édite, est la personne du Christ crucifié — ou se confond avec elle indiscernablement. Les romantiques n’ont pas été si loin da
2 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
6 ayons de comprendre une attitude qui risque de se confondre , aux yeux de nos militants, avec une volonté sournoise de sabotage. L
3 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
7 Et cela veut dire que les chances de l’Europe se confondent aujourd’hui avec les chances de l’homme. C’est pourquoi nous voulons