1
scrupule d’orthodoxie, d’une dernière crainte de
confondre
l’homme et Dieu. Troxler esquive non sans adresse la difficulté et le
2
ne physique6. C’est « le royaume de l’Être qui se
confond
avec le royaume du Néant, l’éternité enfin conquise et dont la plénit
3
de perdre le réel, de se perdre soi-même, pour se
confondre
avec cet Indicible qui reste, aux yeux de la chair, le pur Néant. Ain
4
que la cause secrète de sa douleur en vient à se
confondre
avec le fait de vivre en général. D’où l’idée qu’il doit « expier la
5
édite, est la personne du Christ crucifié — ou se
confond
avec elle indiscernablement. Les romantiques n’ont pas été si loin da