1 1939, Nicolas de Flue. PROLOGUE
1 é1. Le récitant. Le chœur. En ce temps-là, Confédérés Prêtez l’oreille ! En ce temps-là, déjà, Comme aujourd’hui ! Mont
2 x. Le récitant. Le chœur. Ce soir encore, Confédérés Prêtez l’oreille ! Notre héros et notre saint nous parle. Là-bas
3 hestre.) Le récitant. Le chœur. Or écoutez Confédérés  ! Prêtez l’oreille ! Tutti. Commence ici le Jeu de Nicolas !
2 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
4  —  Nous avons faim ! Nicolas. —  Étrangers et Confédérés , qu’attendez-vous d’un plus pauvre que vous ? Le pèlerin. —  On di
5 par moi, mais le Tentateur exécrable ! (Il crie.) Confédérés  ! Confédérés ! réveillez-vous, n’écoutez pas le Tentateur ! (Lumière
6 le Tentateur exécrable ! (Il crie.) Confédérés ! Confédérés  ! réveillez-vous, n’écoutez pas le Tentateur ! (Lumière sur le plan 
7 r nos terres. Jour du désir, jour de l’angoisse ! Confédérés , écoutez, écoutez ! (Une moitié du groupe des Suisses se tourne ver
3 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
8 mman. Le Landamman. —  Nous avons huit cantons confédérés . Les villes disposent de trois voix : Zurich, Berne, Lucerne. Mais av
9 nes et des villes, représentants des huit cantons confédérés  ! Pour la dernière fois en cette année, nous déclarons ouverte notre
10 s s’ouvre à nous, je vous adjure et je vous dis : Confédérés , faisons taire nos petits égoïsmes, bannissons tout esprit de clocher
11  —  Au nom de la vénérable Diète des huit cantons confédérés  ! Considérant tous les périls qui nous menacent à l’intérieur comme a