1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 Si quelque discorde venait à s’émouvoir entre les confédérés , les plus prudents interviendront par arbitrage pour apaiser le diffé
2 re des partis méprisait leur sentence, les autres confédérés se déclareraient contre lui. (Suivent des clauses relatives à la pro
3 commun.) En cas de guerre ou de discorde entre confédérés , si l’une des parties se refuse à recevoir jugement ou composition, l
4 se refuse à recevoir jugement ou composition, les confédérés devront prendre la cause de l’autre partie. Tout ce que dessus, statu
5 trage reçu, le canton intéressé peut requérir les Confédérés de le secourir. Cependant… chaque canton n’est pas allié à tous les a
6 a besoin d’avoir prompt secours, tous les cantons confédérés aideront de toutes leurs forces, comme s’ils étaient nommément appelé
7 ique dans cette réaction instinctive des citoyens confédérés . Et c’est là l’explication la plus favorable que l’on puisse donner d
8 semaine. Sa légende se répand très vite chez les Confédérés , puis bien au-delà. Les pèlerins se succèdent auprès de « l’homme de
9 tation de la gloire militaire n’empêchent pas les Confédérés de se jeter dans les guerres de Bourgogne, et toutes les prédictions
10 la Lombardie et la Souabe, sous la domination des Confédérés . La puissance militaire des Suisses, à ce moment, paraissait justifie
11 non légal, reposant sur le sens civique inné des Confédérés et non pas sur des textes, c’était en un mot l’esprit même du fédéral
12 tholiques le surnommaient le « bailli de tous les Confédérés  ». Berne se méfiait de ses ambitions. Finalement, une armée catholiqu
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
13 oup plus profonde et virulente que celle de leurs confédérés romands. Ces derniers se distinguent de la France tout autrement que