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i de leur pays d’origine. Tandis que les premiers
confédérés
, lentement, ville à ville, en trois siècles, étendront le réseau de l
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Si quelque discorde venait à s’émouvoir entre les
confédérés
, les plus prudents interviendront par arbitrage pour apaiser le diffé
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re des partis méprisait leur sentence, les autres
confédérés
se déclareraient contre lui. En outre, il a été convenu que celui qu
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squ’à ce qu’ils aient été dûment rappelés par les
confédérés
. Celui qui, de jour ou de nuit, aura méchamment causé un incendie, pe
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de ses biens le dommage souffert. Et si l’un des
confédérés
porte atteinte à la propriété d’autrui par vol ou de toute autre mani
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int de faire dommage par sa résistance à l’un des
confédérés
, tous les confédérés seraient tenus de contraindre le contumace à don
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par sa résistance à l’un des confédérés, tous les
confédérés
seraient tenus de contraindre le contumace à donner satisfaction. En
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tisfaction. En cas de guerre ou de discorde entre
confédérés
, si l’une des parties se refuse à recevoir jugement ou composition, l
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se refuse à recevoir jugement ou composition, les
confédérés
devront prendre la cause de l’autre partie. Tout ce que dessus, statu
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a donc un « pays » bien défini : celui des hommes
confédérés
des trois vallées. Pays réel, sinon légal, et qui n’a pas de constitu
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se répandre d’appeler « Schwyzer » l’ensemble des
confédérés
, du nom de ceux d’entre eux qui se sont signalés par leur valeur guer
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trage reçu, le canton intéressé peut requérir les
confédérés
de le secourir. Cependant, il ne peut pas recourir à qui bon lui semb
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a besoin d’avoir prompt secours, tous les cantons
confédérés
aideront de toutes leurs forces, comme s’ils étaient nommément appelé
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e son droit d’alliances extérieures. En 1352, les
confédérés
conquièrent la vallée de Glaris, puis la petite ville de Zoug, et les
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si quelque discorde vient à s’émouvoir entre les
confédérés
». Cela dit — ou plutôt, cela juré devant Dieu —, pourquoi ne pas adm
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ue ce soit un monarque, un État, ou même un frère
confédéré
. On cherche alors l’appui des voisins autonomes, — ceux qui sont disp
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e système de ligues et de pactes pratiqué par les
confédérés
. Car en fait, leur passion de l’autonomie et des libertés politiques
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— pourtant premier garant de leurs libertés — les
Confédérés
se voient tentés d’agir comme une puissance indépendante et conquéran
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tten et leurs alliés Grisons au sud. En 1512, les
Confédérés
envahissent la Bourgogne, assiègent Dijon et imposent une paix désast
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es qui se sont élevées un peu trop haut, chez les
confédérés
, ont été bientôt abattues : Waldmann, Zwingli, Schiner, Jenatsch, cen
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, les Grisons et même Vaud étaient reconnus comme
confédérés
par l’étranger, mais non par les cantons catholiques44. Si la Suisse
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an d’union comme un brandon de discorde entre les
confédérés
. (Tels sont encore les trois reproches majeurs auxquels se heurtent d
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antécédents, une langue qui nous distinguent des
confédérés
, nous ne pouvons vouloir un ordre de choses qui nous engagerait au sa
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ait partie du domaine des Savoie. Conquis par les
Confédérés
, qui se portaient au secours de Genève, en 1530, il demeura pendant p
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assif du Gothard, à cause de toute l’histoire des
confédérés
. Cette armée ultradémocratique, sans caste militaire, toute mêlée à l