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le. Rien d’étonnant si une telle pratique est mal
connue
ou mal comprise à l’extérieur, et notamment chez nos voisins français
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litiques. La plupart de ces plans sont restés peu
connus
, voire inconnus de leurs contemporains. Aucun d’entre eux, avant celu
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xactement dans l’histoire suisse). Le mot n’a été
connu
qu’au moment où la chose était niée par un puissant parti, les jacobi
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mées puis internationales ; par des styles qui ne
connaissaient
ni péages ni frontières politiques ; et par des traditions communes à
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ilosophique mais « géographique ». N’ayant jamais
connu
d’« Européens » à ce point illettrés et fanatiques, j’attendais avec
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s un tout. Troisième principe. Le fédéralisme ne
connaît
pas de problème des minorités. On objectera que le totalitarisme, lui
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ral administre la justice en matière fédérale, et
connaît
notamment des conflits de compétence entre la fédération et les États
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utions œcuméniques au plan confessionnel, dont on
connaît
l’essor récent et très puissant. Quant aux libéraux agnostiques, ils
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sychologiques en est un autre : chacun maintenant
connaît
, au moins sommairement, l’existence des complexes freudiens, des refo
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nt l’épreuve suprême, que tout homme doit un jour
connaître
, et qu’il appelle secrètement. Pourquoi mariage et passion sont-ils i
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tion sur le gouvernement de Pologne (1772), moins
connue
mais d’un intérêt considérable pour le lecteur d’aujourd’hui. Comme d
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ée de très petits États « où tous les citoyens se
connaissent
mutuellement », mais qu’unissent les liens d’une « commune législatio
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ode civil de son canton natal, Zurich, Bluntschli
connaît
les mécanismes de notre vie confédérale : il n’hésite pas à les propo
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européen. Et j’ai marqué la filiation — trop mal
connue
— qui va de Hertenstein au congrès de Montreux, du congrès de Montreu
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lus, mais avec les Six. Les chiffres globaux sont
connus
. En mai 1963, par exemple, nos importations proviennent pour 65,3 % d
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pose pas, qui le fera ? Notre fédéralisme est peu
connu
, ou très mal connu hors de Suisse ; notre neutralité n’y est que trop
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ra ? Notre fédéralisme est peu connu, ou très mal
connu
hors de Suisse ; notre neutralité n’y est que trop connue. Pourquoi p
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ors de Suisse ; notre neutralité n’y est que trop
connue
. Pourquoi parler toujours de cette neutralité, vertu qui ennuie et pr
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’ils se lisent mutuellement. L’un voudra se faire
connaître
à Zurich, puis à Munich, Vienne et Berlin, et l’autre d’abord à Paris
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par rapport au confort quotidien, sans prétendre
connaître
la nature intime de l’électricité et de la lumière : j’ignore si elle
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de la colonisation, les peuples du tiers-monde ne
connaissaient
de nous que d’assez rares exemplaires de colons et de soldats, qui n’
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sse qui ne parle, dit-on, que de marques d’autos,
connaît
mieux les forêts, les montagnes et les plages de plusieurs régions de
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par les Anglais. Un pays que tout le monde croit
connaître
même sans y avoir jamais été, car tout le monde sait qu’il est beau m
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l n’en fut pas toujours ainsi, et les Suisses ont
connu
pendant des siècles de furieuses guerres civiles dites de religion, e
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d’amour tendre. On ne leur demande même pas de se
connaître
! Un jodleur d’Appenzell avec son disque de laiton à l’oreille, sa pi
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t des souhaits des organisateurs du colloque, qui
connaissaient
les besoins de leur région, mais de tout un mouvement de pensée polit
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es exigent une période d’expériences, et celle-ci
connaîtra
forcément des échecs. Organiser, structurer, animer des régions et le
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ité caractérisée par sa diversité : Ou encore : —
connaître
nos problèmes communs, l’un des plus réels étant que nous sommes tous
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faudrait rappeler qu’après la préhistoire qui ne
connaissait
que les tribus et leurs clans, l’histoire commence avec les grands em
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t des souhaits des organisateurs du colloque, qui
connaissaient
les besoins de leur région, mais de tout un mouvement de pensée polit
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gion, puis d’expériences concertées, et celles-ci
connaîtront
forcément des échecs. Organiser, structurer, animer des régions, et f
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u ciel de descendre Dans un cœur qui s’émeut et
connaît
leur présence…) ⁂ Nous avons déjeuné sur une terrasse d’auberge accr
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relations bipolaires dont le « modèle » nous est
connu
: c’est celui qu’ont élaboré les fondateurs de la philosophie occiden
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il est vrai, cela change tout : Marcuse, ni lu ni
connu
mais « actuel » selon les courriéristes littéraires.) C’est son style
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luence la plus oppressive que le monde ait jamais
connue
, elle deviendrait un véritable bienfait… » Le Nationalisme et le col
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soupçonnait guère à 20 ans, tels qu’on espère les
connaître
longtemps. Amours, délices et mairie (pas d’orgues pour les divorcés)
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expérience et à celle des couples remariés que je
connais
. La première fois, on épouse ses complexes D’abord la grande que
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rmés dans l’enfance et restés inconscients. On ne
connaît
pas ses complexes, ils nous dirigent à notre insu, à notre corps défe
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e descendre les différents cercles de la passion,
connaîtra
plusieurs rééditions et sera traduit en plusieurs langues. Aujourd’hu
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personnalisme, ouvrage malheureusement assez mal
connu
, Politique de la personne . On peut y lire, en effet, un article qui