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ompagnon un ouvrier de mon usine. On apprend à se
connaître
en partageant la même chambre. Nous suivions des cours de politique e
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moyens, quelle était la réalité de la menace. Il
connaissait
le IIIe Reich pour y avoir vécu un an. Il estimait que dans l’intérêt
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ême d’une défense efficace, il importait de faire
connaître
la nature de l’attaque qui se préparait, et donc la force autant que
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s faits « bons » ou « mauvais ». Je dis : il faut
connaître
ces faits si l’on veut agir sur eux sans se laisser contaminer. Ils m
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Dans un monde comme le nôtre, où si peu d’hommes
connaissent
leur vraie croyance et leurs vrais désirs, il est fatal que se dévelo