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s, non de la seule exactitude des pensées —, nous
connaissons
le modèle immortel, le Livre de Job. Il serait curieux d’en suivre la
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nt négligeable, s’agissant de deux êtres que l’on
connaît
par leurs écrits d’abord. Mais, pour en tenir un juste compte, il s’a
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oin, d’un long abandon à l’erreur. Goethe n’a pas
connu
de tels déchirements. Et c’est lui qui méritera la phrase de la Saiso
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es que le présent désordre. Je ne vois pas qu’ils
connaissent
l’homme mieux que nous. Je ne les vois pas plus forts. Je vois bien l
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sa fantaisie, la plus joyeusement érudite que je
connaisse
. Tel qu’il est, ce petit volume nous offre un jeu serré et subtil, et
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ais la misère de l’homme livré à un Dieu qu’il ne
connaît
pas, parce qu’il ne connaît pas le Christ. « Nul ne vient au Père que
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ré à un Dieu qu’il ne connaît pas, parce qu’il ne
connaît
pas le Christ. « Nul ne vient au Père que par moi ». C’est par le Fil
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ermet de faire un pas et « d’en sortir » que nous
connaissons
notre état, que nous mesurons le réel, et que nous pouvons l’avouer.
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smique du mal, où se trouve aussi le remède. Pour
connaître
et guérir une maladie, il ne suffit pas de voir l’homme seul ; il fau
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où est l’étalon, où est la mesure commune, et qui
connaît
le modèle idéal ? Le malfaisant nationalisme n’est rien d’autre qu’un
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? Si tu veux ce résultat… apprends d’abord à bien
connaître
ta génération, et surtout ses erreurs, ses plaisirs, ses fièvres, ce
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ui : c’est le fait de réaliser la vérité que l’on
connaît
; ou encore, de la prendre au sérieux et de la vouloir uniquement. Ma
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ayons d’in-octavos. Mais Claudel : « Vivre, c’est
connaître
», « Se connaître, c’est faire naître avec soi »… Il ne s’agit évidem
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. Mais Claudel : « Vivre, c’est connaître », « Se
connaître
, c’est faire naître avec soi »… Il ne s’agit évidemment, ici et là, n
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et du geste. Poésie, de poiein, ce sera : faire.
Connaître
, de cognoscere, sera : co-naître. Il faut savoir ce que parler veut d
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la Joie. Le monde qu’interprète l’Art poétique ne
connaît
pas Descartes le diviseur, ne connaît pas de localisation du spiritue
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poétique ne connaît pas Descartes le diviseur, ne
connaît
pas de localisation du spirituel, ne connaît pas de lois mais seuleme
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, ne connaît pas de localisation du spirituel, ne
connaît
pas de lois mais seulement des formes. C’est un monde en recréation p
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ivante de tout ce qui est. Et maintenant, pour se
connaître
, il lui suffit d’agir sa vocation. Dans l’acte conscient de la fin qu
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inction du matériel et du spirituel. L’homme « se
connaît
donc à son pas et à l’extension de ses mains, à la facilité plus ou m
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tique, art de refaire le monde — tel que Dieu l’a
connu
de toute éternité ! 40. En effet, la citation du Cratyle qu’il donn
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le plus souvent absurdement contradictoire. 43.
Connaître
commande naître ; comprendre : entraîner avec soi ; assister : prêter
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d’un chômeur industriel, par exemple — mais il ne
connaît
plus de vrais loisirs. 23 janvier (écrit sur la dune) Il ne faut pa
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, valablement, en vérité, que si je me sens et me
connais
participant de ce monde « mal compassé ». 16 avril La poule noire c
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ttre et un chèque. C’est un prix. Un prix dont je
connaissais
tout juste le nom. Que je n’aurais jamais eu l’idée de solliciter. Et
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s qu’une fois par semaine, mais je commence à les
connaître
. Je pourrais vous en dire. C’est partout différent, pour l’argent. Si
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lma Lagerlöf (novembre 1937)ag Le monde entier
connaît
la geste de cette communauté de sans-foyers, d’âmes sauvages et music
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sent des mêmes droits politiques. » 47. On n’en
connaissait
jusqu’ici qu’une adaptation abrégée, selon la coutume détestable qu’a
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elque chose contre la guerre, ne fût-ce que de la
connaître
mieux. Peut-être même prendrez-vous conscience d’une menace plus géné
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euve, une fois de plus, que l’homme moderne ne se
connaît
jamais mieux qu’à la faveur de circonstances brutales, qui le rabatte
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ianisme.51 Alain dit quelque part n’avoir jamais
connu
de « vrai croyant » qui ne vive « selon la peur ». Serait-ce qu’il n’
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ites d’un honnête homme. On est en garde, et l’on
connaît
le système, entièrement relatif aux règles du jeu. Imaginons un don j
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omme je parlais de ces choses à une amie : « J’ai
connu
, me dit-elle, un homme marié avec lequel ayant été coquette en vain,
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’air plus authentiques que ceux que nous pensions
connaître
. Ils n’ont pas été restaurés par les auteurs de manuels, ni patinés p
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(novembre 1951)at Tout compte fait, nous nous
connaissions
peu, ce jour de juin 39 où dans le hall de la rue Sébastien-Bottin, j
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: qui modifie le moins du monde l’image que l’on
connaît
de lui. Nous parlions style, tournures de phrases, Littré. Et quelque
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ans l’Histoire, une civilisation sur vingt et une
connues
l’ayant rendue possible et acceptable. « Hérétique entre les hérétiqu
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ces discussions sur la croyance ou non d’un homme
connu
, multipliées et prolongées après sa mort, dans notre siècle. Elles ne
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iennes ni simplement honnêtes. « Le Seigneur seul
connaît
les siens », dit l’Écriture : si l’on est chrétien, qu’on croie cela,
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’enseigner à des générations dont notre enfance a
connu
les derniers représentants. Cependant, vers 1950, nul ne peut plus do
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tes les précédentes ? Oui, s’il s’agit du goût de
connaître
le passé, plus répandu que jamais dans le grand public : Toynbee est
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e vocation. 55. La première société d’histoire
connue
en Orient fut fondée au xixe siècle par un Anglais, sir William Jone
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que la Forme sous laquelle chacun des spirituels
connaît
Dieu est aussi la forme sous laquelle Dieu le connaît, parce qu’elle
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aît Dieu est aussi la forme sous laquelle Dieu le
connaît
, parce qu’elle est la forme sous laquelle Dieu se révèle à soi-même e
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qui pose comme une clef musicale : « Chaque être
connaît
le mode de prière et de glorification qui lui est propre. » Toute per
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onne s’origine en Dieu, qui l’a créée afin d’être
connu
par elle et de « devenir en elle l’objet de sa propre connaissance.75
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on l’a vu, nient la personne ou la survolent, ne
connaissent
que l’ego tout transitoire et le Soi tout impersonnel : « Il n’est qu
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s, la cause est entendue : l’Asie métaphysique ne
connaît
pas l’amour, — j’entends l’amour de Dieu, de soi et du prochain, l’am
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u d’exemples convaincants — pour ma part, je n’en
connais
point — de ce que nous baptisons amour-passion, et l’on sait à quel p
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le vrai Dieu des chrétiens, qui est personnel. On
connaît
les définitions. Mais je retrouve ici mon expérience. C’est seulement
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ar ce culte que nous lui rendons, nous arrivons à
connaître
le monde et à l’anéantir en l’absorbant. Mais que nous devenions Shiv
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erdent dans les profondeurs de l’éternité. » Nous
connaissons
assez bien cela en Occident. Bismarck écrit : « Faust se plaignait d’
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alité ce que je n’entends ici que formuler. Je ne
connais
rien dans la littérature qui confronte avec plus de tendresse et de r