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ûr pour toi qu’une lumière et qu’un chemin que tu
connaisses
. »1 D. R. Berne, 1er mars 1940. 1. Vers d’un poète anglais, cités
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nie à ce moment par Socrate, lorsqu’il nous dit :
Connais
-toi toi-même, c’est-à-dire : prends conscience de ton existence indiv
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mot nouveau. Ou plutôt non : c’est à un mot déjà
connu
que l’on aura recours, mais on va lui donner un nouveau sens. Pour dé
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Âge. « L’homme médiéval, écrit Burckhardt, ne se
connaissait
plus que comme race, peuple, parti, corporation, famille ou sous tout
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quand il s’agit des choses de l’esprit — c’est de
connaître
l’adversaire afin de reconnaître et de tuer les plus secrètes complic
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es complicités qu’il a su ménager dans nos cœurs.
Connaître
la religion totalitaire, c’est la première condition pour éviter chez
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, des déviations qui feraient le jeu de l’ennemi.
Connaître
la doctrine de l’homme fasciste, c’est définir du même coup certains
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s les faits, et dans des faits très simples, bien
connus
, qu’il suffira de rassembler pour qu’une leçon claire s’en dégage.
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s, dix ou cent fois plus grandes que celles qu’on
connaissait
auparavant. Ainsi Berlin passe, en un demi-siècle, de 25 000 habitant
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es humaines informes et démesurées, là où l’on ne
connaissait
auparavant que des groupements organisés autour de petites entreprise
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e une liberté qui n’est que du laisser-aller ; on
connaît
sa devise : laisser-passer, laisser-faire ! Que chacun pense ou trava
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une réponse qui ne soit pas vraiment totale. Nous
connaissons
les résultats d’une pareille faute, nous ne cessons d’y penser ce soi
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de ses succès mais aussi de ses échecs, que nous
connaissons
mieux que personne. Tout mon espoir est qu’il se forme ici des équipe
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re ? La Suisse est belle, c’est entendu, c’est
connu
dans le monde entier. On a fait avec cela beaucoup de littérature de
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première vue dans des catégories moyennes et bien
connues
, telles que bon ou méchant, droite ou gauche, ami de l’ordre ou espri
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ement libre, toute véritable liberté d’esprit. Je
connais
bien des Suisses cultivés que l’intolérance de leurs concitoyens simp
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’agir, de parler ou d’écrire. Et j’ajouterai : je
connais
bien des protestants que notre moralisme simpliste, notre méfiance à
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e la vocation d’autrui. Car seul un vrai chrétien
connaît
et aime le secret de la liberté, que Vinet nous révèle en écrivant :
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ut d’abord à la défendre, c’est-à-dire à la faire
connaître
autour de nous et en dehors de nos frontières. Si quelqu’un d’entre v
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rées et affadies par les manuels. Il nous reste à
connaître
vraiment nos confédérés suisses allemands, qui savent souvent telleme
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plan du spirituel, toute l’espérance œcuménique.
Connaître
le voisin de langue ou de confession différente ; lui reconnaître le
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e légal, de capitale, ni de constitution. Elle ne
connaît
et ne tolère nulle hégémonie dans son sein. Sa Diète se réunit comme
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t plus à faire : n’importe quel chef d’entreprise
connaît
exactement la différence entre un ouvrier qualifié et un manœuvre. La
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ire des hommes dont la fonction est avant tout de
connaître
l’Europe : juges et négociateurs d’accords internationaux, cosmopolit
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sse international » est un homme qui peut et doit
connaître
l’Europe, par tradition, par goût et par nécessité. Et la connaître n
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, par tradition, par goût et par nécessité. Et la
connaître
non pour l’utiliser au bénéfice de quelque impérialisme, mais la conn
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iser au bénéfice de quelque impérialisme, mais la
connaître
pour la faire. Pour la servir, et non pour s’en servir. 14. La missio
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motifs d’un bandit tout prêt à l’assommer. Or je
connais
une certaine propagande qui nous tape sur le crâne, littéralement, et
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réparer, peser le pour et le contre, discuter… On
connaît
la devise humoristique du Méridional : « Toujours à gauche, mais pas
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dées générales que de compétences économiques. Je
connais
tel professeur d’Université, tel écrivain, tel philanthrope, tel conn