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s des siècles. La Bible, — c’est un fait trop peu
connu
— parle beaucoup moins du mal en général que du Malin personnifié (to
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métier » et l’envie d’être à l’avant-garde, Satan
connaît
encore l’Esprit et les esprits, mais non plus la fin et la gloire à l
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ge d’un Dieu, selon le récit de la Genèse, que de
connaître
le Bien et le Mal. Les psychologues et moralistes modernes, en nous m
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’il tiendra pour une sottise. C’est que Dieu seul
connaît
le plan d’ensemble et l’intention dernière de toute sa Création. Et c
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borne à taire la vérité (tout en ne cessant de la
connaître
) ou à la nier (tout en sachant que pour si peu, elle ne cesse pas d’e
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r son crime, et celui qui ne le confesse pas n’en
connaîtra
jamais toute l’étendue. Le diable est cet Accusateur qui veut nous fa
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est qu’il s’en tient à la légalité, au bien qu’il
connaissait
à l’origine ; un bien tout fait, arrêté pour toujours. Depuis sa chut
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age. Ils se cachent à leurs propres yeux. Comment
connaîtraient
-ils Satan, puisqu’ils ne veulent pas voir leur être véritable, celui
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Satan. Mais du même coup, il devient incapable de
connaître
celui qu’il sert ! Satan veut nous faire croire qu’il n’y a pas d’aut
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oin du lieu de son action réelle. N’avez-vous pas
connu
de ces dames charmantes qui se récrient dès qu’on parle du diable : —
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r plus étendu et plus profond que l’Histoire n’en
connut
depuis le Déluge. L’issue fatale de l’aventure n’affecte pas sa porté
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la d’autant mieux que la religion qu’il adopte ne
connaît
point de transcendance, et que ses buts purement terrestres non seule
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ces rues les plus émouvantes du monde : il ne les
connaîtra
jamais. Il ne verra que d’aveugles façades. Il s’est privé à tout jam
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la revêtit aux yeux de son peuple. De l’aventure
connue
sous le nom d’hitlérisme, dégageons maintenant des conclusions valabl
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as les enchaîner. Si elle détruit tous les moyens
connus
de les apprivoiser, et prohibe la recherche hasardeuse de moyens nouv
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mal se confesse. Eh bien, ce sera vite fait, nous
connaissons
le tour : ce qu’il y eut finalement de plus diabolique chez Hitler, c
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dans son âme) les microbes de toutes les maladies
connues
, et de bien d’autres. Anéantir les signes extérieurs de la menace ne
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épuise en vains efforts pour atteindre le Juge et
connaître
sa loi. On le condamne à mort, sans recours, malgré l’appui d’un avoc
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d’un avocat marron, sorte de prêtre, qui prétend
connaître
le Juge et n’est pas mieux en cour que son client. Je dis que le diab
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énérales. Il comprend tout et il a tout prévu. Il
connaît
l’homme dans sa vulgarité, et se flatte de savoir l’y réduire. Il vou
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s l’homme Jésus. Et quelques-uns seulement surent
connaître
le Christ dans le fils de Joseph, charpentier de village. Mais l’inco
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ivoque : Jésus après avoir fondé l’Église, a fait
connaître
à ses disciples sa mort prochaine et sa résurrection. Alors Pierre s’
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out cela, pensera-t-on, c’est de la théologie. Je
connais
peu d’occupations plus décriées dans notre siècle, peu de mots qui ga
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s, des philosophes, des moralistes, des écrivains
connus
dans le monde entier : neuf fois sur dix ces maîtres de la pensée mod
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faires, il s’appelle Mr. Time et tout le monde le
connaît
. Mr. Time croit que le temps c’est de l’argent. Or il gagne beaucoup
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, dit André Gide, l’un des rares hommes que j’aie
connus
qui croient au diable et qui en parlent bien. La discussion de cette
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’entendait. Ou disons mieux : à d’autres fins. On
connaît
la légende du Moyen Âge : le diable portant pierre parmi les ouvriers
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itiques et urbaines.) Reprenons ce récit trop mal
connu
. « Toute la terre avait une seule langue et les mêmes mots ». En somm
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s, dix ou cent fois plus grandes que celles qu’on
connaissait
depuis des millénaires. Dans ces villes se sont entassées des masses
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ur. Et partout où l’amour est contrefait, vous le
connaîtrez
à ses fruits. S’il est vrai que tout ordre humain repose sur l’allian
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ieux que la vérité, et que l’intérêt « vital » ne
connaît
pas de loi, alors on entre dans un monde où l’hitlérisme est justifié
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e la cellule. Il ne fait rien, il vous attend. Il
connaît
la logique de la passion. Il attend votre pire souffrance, son seul b
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mieux serait de m’en aller sans bruit. Mais vous
connaissez
ces couloirs. Et je ne voulais pas être mis à la porte ! Naturellemen
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nos liens avec l’ensemble de l’Univers, ses lois
connues
et ses mystères. Dans le même temps le développement aberrant de nos
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que l’honnêteté sur ce qui est mauvais ». « Pour
connaître
les hommes, il ne suffit pas de les mépriser.33 » « Les personnes fai
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c’est celui qui conçoit le pardon. Car le pardon
connaît
le péché aussi bien que le diable lui-même. Mais il connaît mieux le
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péché aussi bien que le diable lui-même. Mais il
connaît
mieux le pécheur, puisqu’il réveille en lui le courage de l’amour. Je