1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 d du Pacifique, ou de l’Europe, dont il n’a guère connu que les ruines et les amertumes, rêve simplement de son foyer. Il voi
2 e mot soit trop fort. Je parle de la majorité. Je connais beaucoup d’exceptions. Mais si les vétérans de cette guerre dominaien
3 un, non pas à répéter à tout propos le credo trop connu d’un parti. Le secret de cette souplesse civique, de ce dynamisme et
4 uestion fut posée de savoir si quelqu’un au monde connaissait réellement le nombre des agences qui s’occupaient des logements. Depu
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
5 jective, du fait même que ses partis pris étaient connus et déclarés. Le directeur du journal en question censura cette partie
6 nt sur le Middle West, et dont les tares les plus connues sont la brutalité de langage, la haine posthume de Roosevelt, l’isola
7 du prolétaire au millionnaire des lettres. Je ne connais que peu d’exceptions. Et de même vous ne trouverez rien à New York, e
8 aphiques d’abord. Les « bons écrivains » que vous connaissez en Europe, sont dispersés aux quatre coins du continent, ne se connai
9 nt dispersés aux quatre coins du continent, ne se connaissent guère entre eux, ne se rencontrent pas. Depuis le temps d’Emerson et
10 ope, que par malentendu, et très rarement. (Je ne connais guère que deux cas d’écrivains dignes de ce nom qui aient atteint le
11 e, ou s’en fait une idée entièrement fausse. Vous connaissez , en France, à un ou deux noms près, les écrivains américains que j’ai
12 he, et grâce à lui on vous a publié. Car l’editor connaît nos règles, et sachez-le : pour faire paraître dans un grand magazine
13 tonner, me dit-on. De fait, pour un Américain qui connaît tant soit peu son histoire, rien n’apparaît plus naturel. Ce grand em
14 it, un grand fait qui mérite d’autant plus d’être connu et médité qu’il s’est vu curieusement négligé par presque. tous les b
15 uelle constamment maintenue dans la cité. Il faut connaître cet arrière-plan pour donner tout leur sens à certains incidents de l
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
16 bail « trois-six-neuf ». Une jeune héritière très connue déclarait à un groupe de journalistes qui la félicitaient sur ses fia
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
17 se et la bourgeoisie des villes, au contraire, ne connaissent plus aucun tabou. Ni les uns ni les autres ne sont hypocrites lorsqu’
18 on aux besoins véritables.   Familiarité. — J’ai connu des Français amis depuis vingt ans qui se donnaient encore du Monsieu
19 spécifiquement américaine dans ce sens qu’on n’en connaît point ailleurs l’équivalent, et cependant bien faite pour exciter l’i
20 ive patriotique, pour des raisons bien évidentes, connues de tous, et qui ne relevaient point de la lutte des partis. C’est pou
21 peut aider l’Europe Seuls, les Européens — je connais leurs complexes — trouveront trop dures pour l’Amérique les quelques
22 reins solides. Elle a, sur tout autre pays que je connaisse , l’avantage d’accueillir les critiques avec mieux que de la tolérance