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cise, de deux notions du tragique. Le monde latin
connaît
un tragique aux arêtes de pierre taillée : conflits d’actes, de faits
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C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la
connais
à cet écho de joie dans mes pensées. Mais quelle approche me saisit ?
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nds empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins
connaissiez
ce qui causait votre malheur ; moi, non. Barnabooth savait bien ce qu
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core le ton. La littérature hongroise n’est guère
connue
à l’étranger que par quelques pièces légères de Molnar, qui n’ont de
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x, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en
connais
pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses prudentes avec aux
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sse de rencontrer une onde trop légère. Mais pour
connaître
un lac, il faut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru be
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ves, ma Hongrie intérieure ? Il est vrai que l’on
connaît
depuis toujours ce qu’une fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il f
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ne fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il faut
connaître
pour aimer ; les autres, aimer pour connaître. Débat qui se résout da
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aut connaître pour aimer ; les autres, aimer pour
connaître
. Débat qui se résout dans une synthèse, comme toujours : au point de
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comme toujours : au point de perfection, aimer et
connaître
sont un seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimée d’un amour égoïste
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plaisirs mondains l’aspect absurde que nous leur
connaissons
, cette superstition ne leur est nullement nécessaire. Leurs plaisirs
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lisé quand je vois se croiser dans la rue sans se
connaître
un patron d’usine et l’un de ses mécanos. Ou encore, quand le patron
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sent de déverser sur une classe qu’ils ne peuvent
connaître
une haine conventionnelle et bassement démagogique. C’est ainsi que l
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de sa poésie, — d’une poésie, l’on dirait, qui ne
connaît
pas son auteur. Qui parle par sa bouche ? Il règne dans ses Hymnes un
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me qui me conduit est le propriétaire. « Monsieur
connaît
Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant — bon, bon, parce qu’il y en a q
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ne savent pas trop qui c’était… Alors vous devez
connaître
ces portraits ? — (et comme je considère un ravissant médaillon de ma
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par-delà le logique et l’absurde ». Ah bien ! je
connais
quelques êtres entièrement en substance grise qui n’eussent pas mieux
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hansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que je
connais
de plus indiciblement nostalgique. Und solltest du im Leben Ein Mädc
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d’un être, dans le domaine sans frontière où l’on
connaît
profondément. Par les yeux d’une femme étrangère, mes yeux possédaien
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ard. J’ai répondu : « Je ne sais pas si vous avez
connu
ce contentement large de tout l’être devant un verre de vin allemand
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rythme des marées qui baignent nos membres. J’ai
connu
peu de joies plus hautes que celle-ci : se promener dans les campagne
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es formes désirables du monde, lorsqu’il veut les
connaître
et les posséder dans sa force. Car la lenteur est chose souveraine, —
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ces rues les plus émouvantes du monde : il ne les
connaîtra
jamais. Il ne verra que d’aveugles façades. Il s’est privé à tout jam
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e rappellerai, une fois de retour en Europe. J’en
connais
par avance la nostalgie. Le soir vient dans un luxe américain d’ocres
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ent et qui s’éloignent. Un autre sentiment que je
connais
d’avance et ne pourrai que retrouver là-bas, c’est celui de ma nostal
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n sans inquiétude. — Et New York donc ? Si vous y
connaissez
des chambres libres, faites-moi signe. (Comme les Américains paraisse
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III C’est l’un des traits les moins
connus
de notre pays que la continuité de ses familles, ailleurs rompue par
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dans ses Mémoires. Mais c’est par le détail qu’on
connaît
une famille, par une famille l’histoire d’un pays, et surtout d’un pe
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vie — l’une des très rares vies d’homme que j’ai
connues
de près, qui commandât mon absolu respect. Au-delà de l’exemple vivan
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nt se gâte, la rhétorique n’est plus enseignée ni
connue
. L’histoire et la théologie fuient le discours, ignorent le style. En
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ceux dont un homme cultivé, dans toute l’Europe,
connaît
au moins le nom. Nous n’avons rien de ce rang-là. Les visiteurs de La
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i de laisser les étrangers vanter nos vertus bien
connues
et découvrir celles que nous ignorons. Je me borne à l’autocritique.
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nt pris de nos jours et que leurs pères n’ont pas
connu
, l’accent le plus navrant de tout le domaine français, de Québec à Me