1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 roche-orientales. Son élan associe étrangement la conquête du métal à la conquête des âmes, comme feront, après plus de trois-mi
2 lan associe étrangement la conquête du métal à la conquête des âmes, comme feront, après plus de trois-mille ans, les conquistad
3 Sud, mystérieusement inaccessibles aux Celtes. La conquête de la Gaule par César va marquer le début de la fusion séculaire du m
4 universellement, d’autant qu’on peut dire que les conquêtes successives des Grecs, des Macédoniens et des Romains n’ont fait elle
5 r hors de soi-même, celui de l’expansion et de la conquête , de la découverte et de la colonisation. L’Europe est née impériale.
6 ’Occident — va s’affermir et se préciser avec les conquêtes de Charlemagne, de 768 à 814. Selon Bède le Vénérable (675-755), hist
7 s Ranke ont fortement souligné l’importance de la conquête des Gaules, dans laquelle ils voient l’un et l’autre l’acte qui crée
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
8 er de son époque pour faire avancer son projet de conquête des lieux saints : les trouble-paix seront déportés en Orient, où ils
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
9 d, roy des Abyssins, qui a fait aussi des grandes conquêtes sur ses voisins barbares — ont tous conçu des desseins, qui surpassen
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
10 ui cédaient aux Huns entreprirent à leur tour des conquêtes . Le poids accumulé d’une multitude de barbares qui se précipitaient l
11 us. Les Arabes ou Sarrasins, qui étendirent leurs conquêtes depuis l’Inde jusqu’en Espagne, languissaient dans l’indigence et dan
12 lle pas civiliser ou faire disparaître, même sans conquête , les nations sauvages qui y occupent encore de vastes contrées ? Parc
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
13 tre que les tendances « antisociales » des États ( conquêtes , guerres, impôts et armements toujours plus lourds, hausse des prix)
14 des instruments qu’ils destinent à de plus vastes conquêtes . […] Quand on considère la méchanceté de la nature humaine, qui se mo
15 bien-être de l’État reposent sur la guerre et les conquêtes . Les gouvernements apprenaient peu à peu que la source même de leur p
16 raîne inévitablement ; enfin, que les plus belles conquêtes se font à l’intérieur du pays. En même temps, les rapports entre État
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
17 évastatrice dont elles firent preuve lors de leur conquête rendit semblables les uns aux autres les pays qui en furent victimes,
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Napoléon et l’Europe
18 urs espoirs européens, celui qui avait rêvé d’une conquête de l’Asie mais que son échec égyptien avait contraint de limiter ses
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
19 830) publie son célèbre pamphlet : De l’Esprit de conquête et de l’usurpation dans leurs rapports avec la civilisation européenn
20 de l’ouvrage entier. Napoléon, c’est l’esprit de conquête et d’uniformité imposé par les armes, c’est l’anti-Europe. La polémiq
21 amalgame a perdu l’odieux de la violence et de la conquête , on voit le patriotisme qui naît des variétés locales, seul genre de
22 une fédération européenne. 167. De l’Esprit de conquête . Chap. XIII : De l’Uniformité. 168. Livre II, chap. 2 : « Inconvénie
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
23 utre n’espère détruire son partenaire, toutes les conquêtes ici ne signifient rien, car la capitale la plus intérieure de chaque
24 enser, tout la pousse vers la paix et non vers la conquête  ; c’est elle la grande Autorité qui tranche, défend et fixe des limit
25 ion de la république romaine qui, dans sa soif de conquêtes et d’asservissement —  manifestations du despotisme effréné qui y rég
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
26 vilisation adulte qui marche à grands pas vers la conquête de la paix et la concorde dans le monde. Sa supériorité [de l’Europe]
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
27 ue couronnent le nouveau. Nous aurons l’esprit de conquête transfiguré en esprit de découverte ; nous aurons la généreuse frater
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
28 ilisation revêtue de toutes ses armes ; aussi les conquêtes de l’Américain se font-elles avec le soc du laboureur, celles du Russ
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
29 ngleterre — Scandinavie de l’autre. César, par sa conquête des Gaules a rendu possible cette configuration, dont Charlemagne, « 
30  ? Et il répond : la papauté, le Saint-Empire, la conquête de l’Outremer, quelques grandes individualités, et la lutte permanent
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
31 , est une lutte très intime et passionnée pour la conquête de l’idée sur les puissances extérieures du chaos et sur l’instinct o
32 ion par la technique du mécanisme terrestre et la conquête de l’espace cosmique, offrant à l’homme de nouvelles conditions de vi
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
33 i, contre-pied exact de Napoléon, entend, par ses conquêtes , faire sa nation à lui, repousse résolument toute idée d’Europe, où i
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
34 un seul Juge dans l’éternité. Mais, tandis que la conquête romaine n’avait saisi que l’homme politique et n’avait régi les espri
35 esprits que dans leurs habitudes extérieures, la conquête chrétienne vise et atteint progressivement le profond de la conscienc
36 ent en propre à l’Europe, autant que les immenses conquêtes des sciences dans la recherche moderne. La science européenne est to
37 ur personne, l’histoire est indispensable pour la conquête de la liberté. Ainsi le besoin de liberté produit l’histoire. Notre h
38 igion hindoue — le bouddhisme — accomplissait une conquête pacifique en partant de l’Afghanistan et en se dirigeant au nord-est,
39 n sur le sort d’une culture « dépossédée » de ses conquêtes par ce monde même qu’elle a suscité. Voici la donnée du problème : L
40 ais, de repenser pour l’Homme le bon usage de ses conquêtes  ? D’autre part, après une avance aussi décisive que celle réalisée d
41 ntôt nous, Européens, si nous nous vantons de nos conquêtes scientifiques, nous serons regardés comme le serait Cornélius Népos s
42 cteurs de puissance, est périmé. Mais surtout les conquêtes sociales des dernières décennies minent notre puissance matérielle. D
43 nte et que rien, nulle part, ne résisterait à ses conquêtes . 1764, 1914, voilà les deux dates qui encadrent cette période de l’hi
44 que… Puis un important apport scandinave, dû à la conquête danoise. Puis l’élément franco-normand après la conquête normande. Su
45 e danoise. Puis l’élément franco-normand après la conquête normande. Survient alors une succession d’influences françaises, véri
17 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
46 ope demeure aux yeux du monde le grand témoin. La conquête suprême de l’Europe s’appelle la dignité de l’homme et sa vraie force