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jamais. Cependant il est hors de doute qu’il eut
conscience
de cet aspect particulier de son destin qui qualifie précisément la v
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s. Tous les hommes de ce temps, s’ils ont quelque
conscience
, souffrent obscurément de leur séparation. Ils sont ensemble et ils s
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est ce conformisme enthousiaste qui tient lieu de
conscience
commune aux grandes masses européennes, quel que soit leur régime pol
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le lecteur ne tardera pas à voir qu’il figure la
conscience
exigeante, et comme le juge incorruptible et amical du héros et de so
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s cesse, avec une sorte d’humour inflexible, à la
conscience
la plus sobre de notre humaine condition. On dirait qu’il incite ses
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une espèce de « grève perlée » : c’est à force de
conscience
, de naturel, d’exactitude dans l’exercice de leurs tâches banales et
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e physique connaissent ce genre d’échec. C’est la
conscience
défaillante qui refuse l’obstacle. Il ne reste alors qu’à se consoler
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isque s’identifie au maximum de sécurité, dans la
conscience
de celui qui agit. Nous appellerions volontiers cet instant le saint
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ême. D’un côté, il y aura une joie créatrice, une
conscience
de libération qui est la jouissance spécifiquement humaine. De l’autr
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ifie simplement ménager et flatter le lecteur, la
conscience
bourgeoise du lecteur, ou plus précisément de la lectrice, car en Fra
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, de nos jours, est devenu un simple reflet de la
conscience
bourgeoise moyenne. Il ne fait que traduire les humeurs, les goûts, l
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t pas de ce que les hommes veulent être, ni de la
conscience
globale qu’ils ont de leur état (et c’est pourtant le principal, prat
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t royaliste, un des instituteurs est objecteur de
conscience
, la plupart sont radicaux ou socialistes. Il vient aussi des communis
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. Et c’est ainsi que Chamisso introduisit dans la
conscience
moderne le mythe de l’homme qui a perdu son ombre, sous les traits pa
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à reculons ? Mais chez l’homme qui parvient à la
conscience
de sa mission spirituelle, le centre de la créativité paraît se dépla
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individuel répète et aggrave cette faute. Ainsi :
conscience
du péché, connaissance de la fin et de l’origine, obligation d’agir p
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s’il perdait son âme ? » Son âme, c’est-à-dire la
conscience
de son origine et de sa fin, du sens même de son action, de sa pensée
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fantile que le marxisme devait consolider dans la
conscience
prolétarienne. Déviation grossière, dira-t-on ; mais pouvait-elle êtr
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oles ou en actes). Si les chrétiens gardaient une
conscience
plus fidèle, partant plus douloureuse de ce fait, je crois qu’ils évi
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vis-à-vis de l’État une attitude d’objecteurs de
conscience
? N’avons-nous rien que nous-mêmes à sauver, alors que nos erreurs pa
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Dieu, et que ce Dieu est l’Éternel, la Loi est la
conscience
finale du peuple hébreu. Et parce qu’elle est la loi de Dieu — qui dé
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de ces déviations traduisant une totale perte de
conscience
des fins religieuses de l’éthique puritaine, et transformant en tyran
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réel pour prendre au sérieux ses reflets dans la
conscience
du spectateur.) Ce qui ne manquera pas de faire crier au dogmatisme.
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c d’esquisser, tout au moins, le dialogue d’une «
conscience
moderne », douée d’exigence spirituelle, avec un partisan du « serf a
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. C’est là la santé de la foi. Kierkegaard Une
conscience
moderne. — Selon Luther, nous n’avons aucune liberté, car en réalité,
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eurs menaces instantes et brutales, à prendre une
conscience
active de ce qui, depuis nos origines, n’était que le sous-entendu de