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i se sont montrés capables, par conviction et par
conscience
professionnelle, de préférer leurs intérêts bien définis aux passions
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ns pas vu assez grand, pas alerté suffisamment la
conscience
des Pouvoirs quant au rôle vital et concret de la culture dans la con
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l ne lui manque peut-être qu’une seule chose : la
conscience
des périls qu’elle encourt, que tous nos pays courent ensemble, — et
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ourt, que tous nos pays courent ensemble, — et la
conscience
aussi des ressources immenses qui sont là, dont elle peut disposer, à
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disent la représenter. À cause de l’absence d’une
conscience
commune de l’Europe et de sa situation présente dans le monde. Commen
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ulturelle de nos pays, la volonté de s’unir et la
conscience
vivante d’une unité de destin et d’avenir, qui est la condition néces
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ses communautés locales. Car celui qui aura pris
conscience
de ce qu’il peut faire dans son rayon découvrira bientôt, en agissant
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tion tendant à développer dans nos divers pays la
conscience
de la communauté de civilisation et de destin historique de tous les
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tous les Européens. Tant que cette communauté de
conscience
n’aura pas été réveillée et informée, les efforts visant à fédérer no
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es tâches assumées par le Centre — « réveiller la
conscience
européenne » et l’informer — vaut infiniment plus que tout ce qu’on v
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oint par choix sentimental ou doctrinal, mais par
conscience
professionnelle. D’autre part, s’adresser aux jeunes. Il s’agit de l
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rope et de notre survie. Cette révolution dans la
conscience
bourgeoise est commencée. Maintenant il faut souffler sur la flamme q
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tous nos milieux sociaux et professionnels — une
conscience
plus profonde de la communauté d’origines et de buts qui définit le m
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ons ; une troisième entend fomenter les prises de
conscience
nécessaires et préalables à toute action commune, tandis qu’une quatr
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Notre économie se renforce. Notre culture reprend
conscience
de ses pouvoirs et rayonne dans le monde entier. Mais tout peut être
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est de retracer la généalogie de l’idée (ou de la
conscience
) européenne — dont ne peuvent témoigner indiscutablement que les écri
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seulement nous donner une histoire des prises de
conscience
successives et contradictoires de notre unité de culture, pendant tro
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ncore que dans le passé. Mais pour éveiller cette
conscience
, il faut aller jusqu’à ses sources collectives : l’École et le milieu
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e réveiller chez les Européens les plus actifs la
conscience
de leur unité, de leur communauté de destin historique, et de leur mi
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stion, l’Europe se voit contrainte de prendre une
conscience
neuve de ses buts généraux, et de ce qu’elle veut de l’homme. C’est l
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elle éveillera, chez les enseignants d’abord, une
conscience
plus aiguë de nos manques et une volonté plus déterminée de résoudre
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s viennent d’accéder à l’indépendance, reprennent
conscience
de leurs valeurs culturelles, de leur culture africaine, avec beaucou
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s’est efforcé depuis un siècle de former vingt «
consciences
nationales », mais pas de European way of life ; où l’on entretient v
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tter contre l’Occident. Réveiller la notion et la
conscience
des ensembles culturels réels permettrait de combattre les aspects le
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ar un regroupement de ceux, d’abord, qui ont pris
conscience
de ces problèmes. Par des stages de discussion, d’information, d’expé
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aduisibles ; et l’évanouissement progressif de la
conscience
du but commun, des fins dernières de l’entreprise, qui se perdent dan
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d’hommes de pensée en qui s’incarne une sorte de
conscience
conjoncturelle de l’évolution de nos recherches, un sens constamment
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tant que tels par le fait même qu’ils auront pris
conscience
de ce qu’ils ne peuvent se contenter d’être seulement des spécialiste
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rs-monde il convient que les Européens reprennent
conscience
de leurs vertus fondamentales et se concertent pour adopter une polit
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rence Europe-Monde une date dans l’histoire de la
conscience
européenne. 66. Cette commission fusionna, au dernier moment, avec
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ndant aussitôt responsable vis-à-vis de sa propre
conscience
et vis-à-vis de la communauté. En d’autres termes, la liberté se réal
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ose à l’union de l’Europe et à la formation d’une
conscience
commune — condition préalable de tout civisme européen — c’est le nat
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r à la Bretagne. Mais la crise y est si aiguë, la
conscience
de la crise si vive et l’oppression quasi coloniale de la région si a
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s phénomènes majeurs qui ont motivé ces prises de
conscience
successives sont faciles à énumérer : a) la CEE, dès ses débuts, a re
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qui contestent l’un de ses dogmes (objecteurs de
conscience
, par exemple, ou régionalistes autonomistes ou « déviationnistes »).
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os et de Leningrad, prison pour les objecteurs de
conscience
, peine de mort pour les objecteurs politiques et les émigrants virtue
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que ne consiste nullement à décider en son âme et
conscience
et au plus près de ses intérêts, si l’on va faire le saut d’un centre
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de conscience européenne et d’horizon mondial. La
conscience
de la nécessité de fédérer l’Europe, puis la reconnaissance de l’obst
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llé chez les Genevois comme chez leurs voisins la
conscience
d’une entité régionale sous-jacente, qui ne demanderait, pour exister
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le région fonctionnelle contribuerait à former la
conscience
d’une entité transfrontalière réunissant la Franche-Comté, la Suisse
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puni beaucoup plus sévèrement que l’objection de
conscience
, qui elle au contraire fait preuve d’une conscience alertée et d’un s
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nscience, qui elle au contraire fait preuve d’une
conscience
alertée et d’un sens exigeant du témoignage civique. Nous retrouvons
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es mondiales, inévitables, refusées certes par la
conscience
des peuples mais inscrites dans les inconscients individuels dans la