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sa tragique ironie, que le théologien doit avoir
conscience
, s’il veut parler valablement. Mais de quoi va-t-il encore pouvoir pa
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: « Car parler de Dieu voudrait dire, pour toute
conscience
sérieuse… parler de la Parole de Dieu, la parole où dieu devient homm
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de doux ahuris, qui partent dans la vie avec une
conscience
pure et des gants beurre-frais. Ils ne tardent pas à rencontrer une j
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rodiguées jusqu’ici avec autant de science que de
conscience
, mais qui se répétaient fastidieusement. Surtout, il situera, définit
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éforme comme autant de conquêtes de la liberté de
conscience
en général, plutôt que de la foi. Ceci dit, l’on ne saurait assez lou
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re au langage une aussi poignante vertu que cette
conscience
d’une mission à remplir et d’un dialogue à soutenir avec l’époque. No
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ntraire d’une mise en question de « Dieu » par la
conscience
morale de l’homme. L’opposition apparaît absolue. Mais l’une des gran
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définition. 17 ans, c’est le moment où j’ai pris
conscience
que j’étais un littéraire. À cette époque je n’écrivais que des poème
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e souffrances, mais peut-être aussi des prises de
conscience
fort utiles. Mon premier mariage s’est terminé par un divorce après m