1 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
1 mbler le vide que forme au cœur d’une créature la conscience d’avoir quitté sa juste place dans le monde. Tombé de l’éternel, Sata
2 pliqués de la perversion, de l’autopunition d’une conscience déchirée, et du désir enfin de se détruire. Se détruire pour s’innoce
3 , et n’ont en général aucune espèce de trouble de conscience . Elles ne conçoivent pas le diable comme l’auteur du péché, mais comm
2 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
4 utrefois les hommes demandaient des directeurs de conscience . Mais la misère des temps et le sentiment d’impuissance qu’éprouvent
3 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
5 vit son chemin. Il marchait dans la gloire, et sa conscience resplendissait comme un sou neuf. « Tu n’as pas peur de lui ? dit le
6 ssement du vrai vers le « vital » au secret d’une conscience moderne : Mais j’étais scrupuleux et, devant que je m’abandonne, le
7 h bien, ce raisonnement que le Malin propose à la conscience individuelle, c’est le même, en chacun de ses détails, qu’Hitler prop
4 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
8 elques siècles, le sens cosmique, c’est-à-dire la conscience immédiate de nos liens avec l’ensemble de l’Univers, ses lois connues
9 perdre le sens moral élémentaire, c’est-à-dire la conscience immédiate d’un absolu qui serait, hors de nous, le gage universel du