1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. Introduction
1 732. L’Empire carolingien marque un sommet de la conscience d’une Europe unie, puis on redescend vers des guerres et des querelle
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. I. Protohistoire d’un continent sans nom
2 ystérieux, ils ont profondément implanté, dans la conscience paysanne, la vénération des morts. De hardis prospecteurs ont porté j
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
3 n ne l’imagine généralement de nos jours. Mais la conscience politico-historique d’une entité européenne, c’est-à-dire d’une commu
4 pas l’expression d’une opinion courante ou d’une conscience populaire : celles-ci ne pouvaient exister, de leur temps, que dans l
4 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VIII. « Europa vel regnum Caroli »
5 VIII. « Europa vel regnum Caroli » Cette conscience commune de l’Europe — remplaçant de plus en plus le concept déprécié
6 ouissement d’une véritable idée européenne, d’une conscience commune attestée par d’innombrables expressions exclamatives. Hélas !
7 ecapitata. Et commença l’éclipse médiévale de la conscience — non certes de la réalité — européenne. Il faudra les menaces mongol