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surer qu’une intention quelconque, un plan ou une
conscience
, relient tous ces maux isolés. Le mythe seul, en personnifiant ou ant
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mbler le vide que forme au cœur d’une créature la
conscience
d’avoir quitté sa juste place dans le monde. Tombé de l’éternel, Sata
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pliqués de la perversion, de l’autopunition d’une
conscience
déchirée, et du désir enfin de se détruire. Se détruire pour s’innoce
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, et n’ont en général aucune espèce de trouble de
conscience
. Elles ne conçoivent pas le diable comme l’instigateur de leurs péché
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ertie de nos âmes, devient presque invisible à la
conscience
humaine. Un vice, c’est une vertu désorbitée ou réduite à l’insignifi
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utrefois les hommes demandaient des directeurs de
conscience
. Mais la misère des temps et le sentiment d’impuissance qu’éprouvent
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a réalité, entre la tête et les entrailles, entre
conscience
et inconscient. Alors que la sagesse voudrait une conscience avertie
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et inconscient. Alors que la sagesse voudrait une
conscience
avertie de notre nature, réglant le jeu, oui, mais en tenant compte d
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vit son chemin. Il marchait dans la gloire, et sa
conscience
resplendissait comme un sou neuf. « Tu n’as pas peur de lui ? dit le
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ssement du vrai vers le « vital » au secret d’une
conscience
moderne : Mais j’étais scrupuleux et, devant que je m’abandonne, le
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aincu. Ce raisonnement que le Malin propose à la
conscience
individuelle, c’est le même, en chacun de ses détails, qu’Hitler a pr
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elques siècles, le sens cosmique, c’est-à-dire la
conscience
immédiate de nos liens avec l’ensemble de l’Univers, ses lois connues
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perdre le sens moral élémentaire, c’est-à-dire la
conscience
immédiate d’un absolu qui serait, hors de nous, le gage universel du