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ang qui court ; ainsi de la respiration. Il n’y a
conscience
que du discontinu. Il n’y a sentiment que de ce qui nous quitte, ou n
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cepte pas la souffrance comme une condition de la
conscience
du réel, mais la repousse comme le signe d’un manque à la loi. Il y a
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rd qui s’appuie sur soi-même : et voici naître la
conscience
, c’est-à-dire, un état d’intensité mortelle de la vie. Car la conscie
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e, un état d’intensité mortelle de la vie. Car la
conscience
de vivre implique une réflexion concrète qui exalte la vie ; et dans