1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
1 ang qui court ; ainsi de la respiration. Il n’y a conscience que du discontinu. Il n’y a sentiment que de ce qui nous quitte, ou n
2 cepte pas la souffrance comme une condition de la conscience du réel, mais la repousse comme le signe d’un manque à la loi. Il y a
3 rd qui s’appuie sur soi-même : et voici naître la conscience , c’est-à-dire, un état d’intensité mortelle de la vie. Car la conscie
4 e, un état d’intensité mortelle de la vie. Car la conscience de vivre implique une réflexion concrète qui exalte la vie ; et dans
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 teurs et des retards d’où naissent le désir et la conscience . De là des pertes de temps ; mais de là aussi les inventions destinée
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
6 de sursis d’une liberté dont nous avions à peine conscience , parce qu’elle était notre manière toute naturelle de respirer et de
7 encore, qui m’a paru se libérer dans beaucoup de consciences et beaucoup de pays, parfois à la faveur de la détresse des masses dé
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
8 x que moi ? Mais que voient-ils, dont je n’ai pas conscience et que je croyais bien quitté ? Il se retourne et le voilà tout étonn
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
9 e chose en nous qui n’est pas moins intime que la conscience , mais qui lui est antérieur et qui lui survivra ; quelque chose que l