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i ont constitué le point de départ d’un examen de
conscience
radical dont est né, au début des années 1930, le groupe de l’Ordre n
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l’autre ; et d’autre part, l’évanouissement de la
conscience
du but commun, des fins dernières de l’entreprise humaine, qui se per
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nouveau d’homme, de pensée, qui ait une sorte de
conscience
de la conjoncture intellectuelle, du savoir — comme on parle de conjo
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Renaissance, il se produit un changement dans la
conscience
que les gens ont de la langue. La langue devient subitement le phénom
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cateur, qui va jouer un rôle considérable dans la
conscience
, et peut-être plus encore dans l’inconscient, des Européens, pendant
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perte du langage commun et, au-delà, une perte de
conscience
des finalités par rapport à une conception de l’homme dans la société
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histoire — depuis que l’humanité a pris une vague
conscience
d’elle-même —, les hommes se voient contraints de choisir leur avenir
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rement posée ; on n’en prenait pas nécessairement
conscience
, on se laissait déterminer par les conduites communes. Aujourd’hui, t
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occasion de doute, d’anxiété. Tout oblige à avoir
conscience
de ce qu’on veut en fin de compte, c’est-à-dire de ce qu’on veut avoi
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me, dans le meilleur des cas, sur un directeur de
conscience
laïque, chef de cellule ou chef de gang, chef de parti ou dictateur.
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un fil électrique) qui fait son « job » en toute
conscience
professionnelle, mais ne veut pas chercher à comprendre le reste, au
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l’individu 14 novembre 1969 On peut dire que «
conscience
» et « individu » sont presque des synonymes, et que leur condition c
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us sommes condamnés désormais à assumer, en toute
conscience
, nos responsabilités. 11 novembre 1966 Si on apporte un peu plus d’ex
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on réprime les hérétiques et l’on uniformise les
consciences
. La nation idéologique moderne se distingue ainsi de l’idée originell
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eulement la vie sociale, mais la vie privée et la
conscience
(comme le démontrent la révocation de l’édit de Nantes et les persécu