1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 onscience. C’est un citoyen de bon sens et de bon conseil , un solide paysan, les deux pieds sur la terre, et non pas un sectair
2 désir de recevoir une parole simple et forte, un conseil , une révélation. (Beaucoup nous ont laissé la relation de leur visite
3 des envoyés chargés d’obtenir son appui : car son conseil est si puissant parmi les Suisses qu’on a coutume de s’adresser d’abo
4 tés, et leur transmit dans une séance secrète les conseils de Nicolas. Miracle ? Ou résultat d’une combinaison particulièrement
5 es mauvais bergers. Puis en 1524, il rappelle les conseils politiques de l’ermite, ses mises en garde répétées contre le service
6 sent l’agacement de l’auteur à voir le nom et les conseils du Frère sans cesse revendiqués par les protestants au cours des disp
7 ucoup de verve et quelque grossièreté, les fameux conseils de Nicolas, qui se trouvent condamner toute la politique des cantons
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
8 ots, se voient privés de tout moyen d’agir. Leurs conseils , leurs appels ne portent plus. Les hommes échangent des paroles en pl
9 ays, ce n’est pas pour défendre des fromages, des conseils d’administration, notre confort et nos hôtels. (D’autres — on sait qu
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
10 que ces affaires soient débattues dans nos Grands Conseils , par des hommes qui parfois ignorent tout de la réalité de l’Église,
4 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
11 terminablement avec la voix de sa conscience, les conseils du prêtre, ou simplement l’opinion des proches. La plupart de ceux qu
12 alisée de l’ensemble des règles, prescriptions et conseils intéressant les conduites humaines et naguère désignées par le terme
13 utes mes forces à bien tirer. Mais je suivais les conseils d’ordonnance, et tirais aussi mal que possible. Car je me trouvais em
14 nes et aux implications, décisives à mon sens, du conseil en trois mots de ce jeune officier — « pensez au noir » —, elles ne d
15 le monde si elles cessaient de lui prodiguer des conseils ou des ordres au moins aussi contradictoires que ceux qu’édictent les