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de l’Europe : M. de Gasperi, ancien président du
Conseil
italien ; M. van Kleffens, ancien ministre des Affaires étrangères de
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ltative, et en présence de M. Pella, président du
Conseil
italien, ainsi que du corps diplomatique, qu’a eu lieu l’ouverture pu
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ns le Trentin, il avait téléphoné au président du
Conseil
Scelba, l’adjurant « en pleurant », disent les journaux, de tout fair
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ère Croisade, mais nous avons le dollar gap et le
Conseil
de Sécurité. Il partit comme Abraham, « sans savoir où il allait », m
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sans le curé, contre les tyranneaux, en dépit des
conseils
des réalistes, il édifiait, il réformait, il initiait et, malgré son
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« 150 » milliards que lui opposa le président du
Conseil
, tient pour incontestable le chiffre de 362 milliards cité par M. Mon
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et au Parlement mais si ce dernier les refuse, le
Conseil
ne démissionne pas : il propose simplement des textes modifiés. En ca
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ous aussi. C’est à nous de faire valoir, dans les
conseils
qui élaborent l’Europe future, les avantages de la formule fédéralist
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r manque d’attention, et pour n’avoir pas cru aux
conseils
les plus simples. À une Suisse qui ne veut ou ne peut assumer ni son
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gués de l’United Europe Movement de Churchill, du
Conseil
français pour l’Europe unie (Dautry, Reynaud, Ramadier et André Siegf
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ui parle ainsi devant douze anciens présidents du
Conseil
, soixante ministres et anciens ministres, deux-cents députés venus de
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politique (d’inspiration unioniste) proposait un
conseil
extraordinaire pourvu d’un secrétariat permanent, et une assemblée dé
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droite continentale et le Labour) avaient eu leur
Conseil
de Strasbourg ; les économistes (libéraux et socialistes) allaient av