1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 se Voltaire », mais aussi grâce à l’influence des conseillers de Mirabeau tels qu’Étienne Dumont et Mallet du Pan, qui rédigeaient
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
2 ar État, grand ou petit16. Le mode d’élection des conseillers varie selon les cantons. C’est tantôt le peuple, tantôt le Grand Cons
3 utume s’est établie d’une rotation entre les sept conseillers  : chacun devient président une fois tous les sept ans, par ordre d’an
4 exemple dans l’époque moderne. Pratiquement, les conseillers fédéraux ne sont jamais renversés. Les Chambres les remplacent lorsqu
5 fait d’autant plus remarquable que le mandat des conseillers ne dépend pas directement des électeurs, des prébendes ou des poignée
6 , la langue, la religion. Comme il n’y a que sept conseillers , il est impossible de faire droit à tant d’exigences simultanées d’un
7 st le moins malaisé : on compte généralement deux conseillers catholiques pour cinq protestants ; un ou deux Romands et un Tessinoi
3 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
8 tres.) Le Département politique est dirigé par un conseiller fédéral permanent, et ses services ont pris une extension considérabl
9 veut que les ministres suisses, c’est-à-dire les conseillers fédéraux, ne quittent pas le pays pour aller discuter dans les capita
10 cratie-témoin, 1948, p. 60. 48. Max Petitpierre, conseiller fédéral, « Propos sur la Neutralité », in La Démocratie suisse, 1948,