1
y ai pris. Il me reste à remercier ceux qui m’ont
conseillé
et guidé dans cette aventure. Et tout d’abord M. Hjalmar Pehrsson, ch
2
pour savoir où il trouvera Europe. La Pythie lui
conseille
d’abandonner sa Quête, et de suivre plutôt une vache : là où cette va
3
jeune Charles-Quint, dont il venait d’être nommé
conseiller
, Érasme écrivait, non sans une profonde ironie : Faisons d’abord en s
4
suffirait de convaincre quelques princes et leurs
conseillers
. À cette fin, il écrit au pape : Ce qu’on attend d’abord de toi, c’e
5
faisant demeurer tout le monde, même ses propres
conseillers
, vous mena dans ses galeries, desquelles ayant fermé les portes il vo
6
rien, juriste, philosophe, diplomate, théologien,
conseiller
des princes, voyageur et correspondant universel. Deux passions maîtr
7
ui empêchent les hommes d’être heureux… Leibniz,
conseiller
de Pierre le Grand, considérait que le rôle de la Russie devait être
8
rre Ier, 16 janvier 1716. Leibniz était devenu le
conseiller
du tsar. 110. Lettre à Grimarest, Hanovre, 4 juin 1712. Opera, Éd. D
9
e et le plus libre : il pense à Genève ! Ce qu’il
conseille
aux Polonais, c’est donc en réalité le contraire du nationalisme mode
10
Galiani : Correspondance inédite de l’abbé F. G.,
conseiller
du roi, pendant les années 1765 à 1783 (Extraits de deux lettres à Ma
11
Gentz (1764-1832) ministre du roi de Prusse, puis
conseiller
intime de la politique autrichienne, bras droit de Metternich et secr
12
ilieu de nous. Personne sans doute n’imaginera de
conseiller
à l’Europe le droit public, si court et si clair, de l’Asie et de l’A
13
ng, l’impiété et les coups, beaucoup de coups. Je
conseille
à nos petits-enfants de venir au monde avec la peau du dos fort épais
14
nte : ils sont actifs. Est-ce rêver encore que de
conseiller
à l’Europe, pour se redresser, pour imposer silence à ses détracteurs