1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 ts de New York ou de Tokyo ? Un maire et quelques conseillers municipaux élus, assistés de milliers de bureaucrates (sans compter l
2 illiers de maires, et des dizaines de milliers de conseillers municipaux — tous élus. Prenez la Suisse : au lieu d’un maire, comme
3 dis jamais : tel sort ne sera jamais le mien ! » conseille un personnage de Ménandre en cette époque alexandrine. « N’importe qu
4 un peu plus de 3000 députés, sénateurs, maires et conseillers municipaux. La réunion n’eut jamais lieu, le préfet ayant été subitem
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
5 973 à automne 1974), la Suisse a réussi, selon le conseiller fédéral Brugger, « une épargne d’énergie de l’ordre de 20 % » (Cf. le
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
6 urs… » On a reconnu nos députés et sénateurs, nos conseillers chargés de faire respecter la constitution, mais aussi l’ombudsman sc
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
7 ions et les appels téléphoniques fusent. Maire et conseillers présents répondent de leur place consciencieusement à chacun. La ball
8 mener une vraie politique, et pour s’entourer de conseillers dans les domaines de l’écologie, de l’énergie, de l’éducation, de l’a
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Que tout appelle les régions
9 onseil fédéral. Je voudrais ici rendre hommage au conseiller fédéral Willy Ritschard, seul homme d’État, de toute l’Europe, qui ai
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
10 ramène sans doute à la sagesse simpliste qui nous conseille de surmonter le mal par le bien — plutôt que par un mal plus fort — e