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nité de fins en soi, d’absolus, au lieu de n’être
considérés
que comme des moyens ». Et c’est ainsi que la jeunesse s’est trouvée
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effort de doctrine ? C’est d’abord une volonté de
considérer
les problèmes économiques et sociaux dans leur totalité ; c’est aussi
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s ont l’air bien souvent de s’opposer. À force de
considérer
d’une part qu’il n’est d’autre révolution que la révolution matériali
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terrestres, mais impliquant l’activité de l’homme
considérée
comme un service nécessaire — voilà peut-être définie l’attitude chré
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I. Qu’avons-nous fait ? Le lecteur voudra bien
considérer
que ce qu’on vient de lui dire n’est pas original, et bien moins enco
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s deux groupes de tête de cette révolution que je
considère
comme étant la seule réelle et vraiment novatrice, sont Esprit et l’O
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ne de la pensée ; refus du nationalisme mystique,
considéré
comme une captation, au profit de l’État et de la finance, du sentime
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’aurait aucun effet… Dans la perspective que nous
considérons
ici, la logique des faits me paraît simple : les jeunes protestants n
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urope (Plon). Sur les problèmes généraux du temps
considérés
dans la perspective de l’ON. Voir Daniel-Rops : Éléments de notre des
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s, souffrent du même vice de constitution : elles
considèrent
les faits psychiques indépendamment de la personne, comme des cas. Ai
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e notre ouvrage contient une théorie de la forme (
considérée
comme surface de contact de forces contradictoires) et une théorie de